Le candidat Alassane Dramane Ouattara vient d’avoir un soutien de poids sur la scène internationale. En effet, l’Internationale Libérale qui est la plus vielle organisation politique au monde et comptant cent six (106) pays membres à travers quatre vingt (80) pays, vient d’affirmer haut et fort qu’elle soutient le Dr. Alassane Dramane Ouattara à l’élection présidentielle. «Nous sommes convaincus que M. Ouattara est le meilleur candidat»
Celui qui a fait cette affirmation hier, au cours d’une conférence de presse, à la Rue-Lepic, est le Secrétaire général de cette structure en l’occurrence, M. Emil Kirjis de nationalité macédonienne, qui était accompagné de Werner Nowak, directeur régional de la Fondation Friedrich Noumann. Entouré de Sidi Touré, chef de cabinet d’ADO et Alexis Zékré N’Guessan, DDC de Gagnoa, M. Kirjis a présenté l’Internationale Libérale comme le plus grand mouvement politique de pression qui a «des contacts forts et des communications permanentes avec les gouvernements de tous les pays». Aussi, a-t-il affirmé, «nous avons facilité ces derniers mois, des dernières années l’accession des Libéraux au pourvoir d’Etat des pays particulièrement en Europe». C’est la deuxième force politique de la Commission mais la troisième dans le Parlement européen. Ajouté à cela, un statut consultatif que l’Internationale Libérale occupe auprès des Nations-Unies à travers plusieurs organismes de l’ONU. Ceci dit, l’Internationale Libérale s’intéresse aux politiques mises en place dans le cadre de la communauté internationale. C’est le cas, a-t-il dit, de la Côte d’Ivoire où l’Accord politique de Ouagadougou est endossé par la communauté internationale. D’où le séjour d’une délégation de son mouvement en terre ivoirienne. Au terme des rencontres que sa délégation a eues avec les principaux acteurs politiques ivoirins et des membres de la société civile, M. Kirjis en a tiré trois leçons : Primo, « nous avons senti la fatigue des populations qui sont en train de perdre patie,nce quant au processus électoral ». En conséquence, le secrétaire général de l’IL souhaite que le processus électoral soit accéléré. Car, a-t-il ajouté «Si les élections ne sont pas organisées en octobre, la situation peut devenir très critique». Secundo, il y a suffisamment de ressources pour organiser les élections. Malheureusement, a regretté M. Kirjis, «ces ressources ne sont pas utilisées pour les priorités supérieures de la Nation, mais plutôt pour la construction de Palais, de création de SENAT». A en croire l’émissaire de l’IL, les deux priorités actuelles de la Côte d’Ivoire, sont «la réunification et l’organisation d’élections transparentes et ouvertes qui puissent remettre le pays sur le chemin du développement». Enfin, «le RDR et son leader ont présenté les meilleurs solutions aux préoccupations des Ivoiriens», a révélé le conférencier. Avant d’ajouter, sans ambiguïté. «Nous sommes convaincus que M. Alassane Ouattara est le meilleur candidat pour l’élection présidentielle en Côte d’Ivoire». Et cela, dita-t-il, parce que le candidat du RDR a présenté un programme qui prend en compte le renforcement de l’unité nationale basé sur «le dialogue et la tolérance» et des solutions économiques «cohérentes et révolutionnaires». Le RDR étant membre de l’Internationale Libérale, le conférencier a affirmé que sa structure mettra tout en œuvre pour mobiliser ses partenaires pour offrir leur soutien dans la campagne. «Nous sommes prêts à soutenir la nouvelle équipe libérale en Côte d’Ivoire après l’élection présidentielle si M. Ouattara devient le président. Les Libéraux sont prêts à offrir au peuple ivoirien les meilleurs services», a promis M. Kirjis. L’homme n’a pas manqué de fustiger le camp présidentiel qui, selon lui, fabrique des entraves à la tenue des élections. Concernant la réunification du pays, il a dit que c’était un processus long. Et la question fondamentale est de faire en sorte que les citoyens aient confiance et se reconnaissent dans le pouvoir en place.
Ibrahima B. Kamagaté
Celui qui a fait cette affirmation hier, au cours d’une conférence de presse, à la Rue-Lepic, est le Secrétaire général de cette structure en l’occurrence, M. Emil Kirjis de nationalité macédonienne, qui était accompagné de Werner Nowak, directeur régional de la Fondation Friedrich Noumann. Entouré de Sidi Touré, chef de cabinet d’ADO et Alexis Zékré N’Guessan, DDC de Gagnoa, M. Kirjis a présenté l’Internationale Libérale comme le plus grand mouvement politique de pression qui a «des contacts forts et des communications permanentes avec les gouvernements de tous les pays». Aussi, a-t-il affirmé, «nous avons facilité ces derniers mois, des dernières années l’accession des Libéraux au pourvoir d’Etat des pays particulièrement en Europe». C’est la deuxième force politique de la Commission mais la troisième dans le Parlement européen. Ajouté à cela, un statut consultatif que l’Internationale Libérale occupe auprès des Nations-Unies à travers plusieurs organismes de l’ONU. Ceci dit, l’Internationale Libérale s’intéresse aux politiques mises en place dans le cadre de la communauté internationale. C’est le cas, a-t-il dit, de la Côte d’Ivoire où l’Accord politique de Ouagadougou est endossé par la communauté internationale. D’où le séjour d’une délégation de son mouvement en terre ivoirienne. Au terme des rencontres que sa délégation a eues avec les principaux acteurs politiques ivoirins et des membres de la société civile, M. Kirjis en a tiré trois leçons : Primo, « nous avons senti la fatigue des populations qui sont en train de perdre patie,nce quant au processus électoral ». En conséquence, le secrétaire général de l’IL souhaite que le processus électoral soit accéléré. Car, a-t-il ajouté «Si les élections ne sont pas organisées en octobre, la situation peut devenir très critique». Secundo, il y a suffisamment de ressources pour organiser les élections. Malheureusement, a regretté M. Kirjis, «ces ressources ne sont pas utilisées pour les priorités supérieures de la Nation, mais plutôt pour la construction de Palais, de création de SENAT». A en croire l’émissaire de l’IL, les deux priorités actuelles de la Côte d’Ivoire, sont «la réunification et l’organisation d’élections transparentes et ouvertes qui puissent remettre le pays sur le chemin du développement». Enfin, «le RDR et son leader ont présenté les meilleurs solutions aux préoccupations des Ivoiriens», a révélé le conférencier. Avant d’ajouter, sans ambiguïté. «Nous sommes convaincus que M. Alassane Ouattara est le meilleur candidat pour l’élection présidentielle en Côte d’Ivoire». Et cela, dita-t-il, parce que le candidat du RDR a présenté un programme qui prend en compte le renforcement de l’unité nationale basé sur «le dialogue et la tolérance» et des solutions économiques «cohérentes et révolutionnaires». Le RDR étant membre de l’Internationale Libérale, le conférencier a affirmé que sa structure mettra tout en œuvre pour mobiliser ses partenaires pour offrir leur soutien dans la campagne. «Nous sommes prêts à soutenir la nouvelle équipe libérale en Côte d’Ivoire après l’élection présidentielle si M. Ouattara devient le président. Les Libéraux sont prêts à offrir au peuple ivoirien les meilleurs services», a promis M. Kirjis. L’homme n’a pas manqué de fustiger le camp présidentiel qui, selon lui, fabrique des entraves à la tenue des élections. Concernant la réunification du pays, il a dit que c’était un processus long. Et la question fondamentale est de faire en sorte que les citoyens aient confiance et se reconnaissent dans le pouvoir en place.
Ibrahima B. Kamagaté