L’ARLASEMCI (Association Régionale des Semenciers des Lagunes de Côte d’Ivoire) a effectué une visite des parcelles semencières de Tiassalé et N’zianoua. Objectif : vérifier si les techniques et consignes de semences ont été respectées par les coopératives qui ont adhéré au projet.
«Nous nous sommes rendus ce matin (NDLR 12 Août 2010) sur les exploitations semencières de nos multiplicateurs de Morokro, d’abord pour vérifier l’effectivité des exploitations. Nous nous rendons compte qu’avec cette exploitation semencière de maïs, les consignes ont été suivies par les multiplicateurs ». Ces mots sont de M. Sekongo Katié Tiekoura, trésorier de cette association de semenciers et par ailleurs DG de la firme phytosanitaire, FLEOCI. Poursuivant, il a exprimé sa reconnaissance à la coopérative ’’Anoumayé’’ de Morokro, village du département de Tiassalé. « Avec vous, nous sommes heureux du travail abattu, qui fait suite à l’encadrement technique que vous avez reçu de la part de nos contrôleurs. C’est ainsi que nous pouvons montrer au monde que la Côte d’Ivoire est capable d’assurer sa sécurité alimentaire et son rôle de grenier de la sous-région », a-t-il ajouté. Avant que le président de la coopérative ‘’Anoumayé’’ ne retrace aux hôtes du jour, les difficultés qui ont émaillé la réalisation de cette exploitation expérimentale. « Depuis le 29 mai 2010, nous avons fait les semis sur une parcelle de 2 ha. Nous avons eu des difficultés avec les rongeurs.
Mais grâce aux partenaires de l’ARLASEMCI, nous avons pu avoir les produits phytosanitaires nécessaires. Nous sommes certains de pouvoir répondre à notre manière, à l’attente des organismes telle que la FAO », a rassuré Kouamé Kouamé Charles. Avant que le cap ne soit mis sur N’Zianoua, pour une visite sur un vaste champ de 50 hectares de céréales (Maïs, Sorgho, Riz), réalisé en collaboration avec la firme semencière PEXAGRI. « Ici, nous avons trois types de céréales qui devront constituer la récolte, après certification, de la semence certifiée pour booster la production nationale.
Ici, la variété de riz que nous avons privilégiée, est le NERICA», a expliqué M. Koutou Assemien, président exécutif de l’ARLASEMCI. Pour clore, une visite a été faite sur la rizière de la coopérative rizicole de Tiassalé. sur une poche foncière de 35 ha, située à la sortie de la ville. A la fin de cette visite, le président de l’ARLASEMCI a donné ses impressions. « Cette rizière est installée sur une superficie de 35 ha, existant depuis 1967. Vous vous rendez compte que nous avons ici les variétés Wiita 9 et le Bouaké 189. Dans l’ensemble, nous sommes satisfaits du travail de l’équipe du président de la coopérative Grenier rizicole de Tiassalé, M. Coulibaly Namogo. On peut dire aujourd’hui, sans se tromper, que nous sommes capables de répondre à l’appel de la FAO », a-t-il déclaré. Le réseau africain des semenciers a aussi honoré de sa présence, cette visite des exploitations semencières de l’ARLASEMCI
K.Hyacinthe
«Nous nous sommes rendus ce matin (NDLR 12 Août 2010) sur les exploitations semencières de nos multiplicateurs de Morokro, d’abord pour vérifier l’effectivité des exploitations. Nous nous rendons compte qu’avec cette exploitation semencière de maïs, les consignes ont été suivies par les multiplicateurs ». Ces mots sont de M. Sekongo Katié Tiekoura, trésorier de cette association de semenciers et par ailleurs DG de la firme phytosanitaire, FLEOCI. Poursuivant, il a exprimé sa reconnaissance à la coopérative ’’Anoumayé’’ de Morokro, village du département de Tiassalé. « Avec vous, nous sommes heureux du travail abattu, qui fait suite à l’encadrement technique que vous avez reçu de la part de nos contrôleurs. C’est ainsi que nous pouvons montrer au monde que la Côte d’Ivoire est capable d’assurer sa sécurité alimentaire et son rôle de grenier de la sous-région », a-t-il ajouté. Avant que le président de la coopérative ‘’Anoumayé’’ ne retrace aux hôtes du jour, les difficultés qui ont émaillé la réalisation de cette exploitation expérimentale. « Depuis le 29 mai 2010, nous avons fait les semis sur une parcelle de 2 ha. Nous avons eu des difficultés avec les rongeurs.
Mais grâce aux partenaires de l’ARLASEMCI, nous avons pu avoir les produits phytosanitaires nécessaires. Nous sommes certains de pouvoir répondre à notre manière, à l’attente des organismes telle que la FAO », a rassuré Kouamé Kouamé Charles. Avant que le cap ne soit mis sur N’Zianoua, pour une visite sur un vaste champ de 50 hectares de céréales (Maïs, Sorgho, Riz), réalisé en collaboration avec la firme semencière PEXAGRI. « Ici, nous avons trois types de céréales qui devront constituer la récolte, après certification, de la semence certifiée pour booster la production nationale.
Ici, la variété de riz que nous avons privilégiée, est le NERICA», a expliqué M. Koutou Assemien, président exécutif de l’ARLASEMCI. Pour clore, une visite a été faite sur la rizière de la coopérative rizicole de Tiassalé. sur une poche foncière de 35 ha, située à la sortie de la ville. A la fin de cette visite, le président de l’ARLASEMCI a donné ses impressions. « Cette rizière est installée sur une superficie de 35 ha, existant depuis 1967. Vous vous rendez compte que nous avons ici les variétés Wiita 9 et le Bouaké 189. Dans l’ensemble, nous sommes satisfaits du travail de l’équipe du président de la coopérative Grenier rizicole de Tiassalé, M. Coulibaly Namogo. On peut dire aujourd’hui, sans se tromper, que nous sommes capables de répondre à l’appel de la FAO », a-t-il déclaré. Le réseau africain des semenciers a aussi honoré de sa présence, cette visite des exploitations semencières de l’ARLASEMCI
K.Hyacinthe
