Le professeur Bernard Zadi Zaourou, après plusieurs séances de répétition au village Kiyi M’Bock, est en quête de financier pour mettre sur le marché une œuvre discographique.
Après la phase de répétitions, vient celle de la réalisation de l’album. L’ex-ministre de la Culture, professeur de lettres et écrivain, Bernard Zadi Zaourou est à la recherche d’un producteur. Engagé à mettre sur le marché une œuvre discographique, le maître a arrêté les répétitions qui avaient lieu à l’école panafricaine Kiyi M’Bock, le temple de Wêrê-wêrê Liking à la Riviera. Et, le projet qui devait entamer son cycle d’exécution a été budgétisé à 15 millions de Fcfa. « J’ai dû arrêter les répétitions. Nous sommes à la recherche de producteur. Nous avons besoin de 15 millions », a-t-il informé. Soit six millions pour une première phase d’enregistrement, prévue à Abidjan, quatre millions pour l’arrangement qui s’effectuera à Paris et cinq millions pour la promotion de l’œuvre. De quoi faire prendre du recul. « Je ne sais rien de ces choses. C’est Laurent Noah et Wêrê-wêrê qui m’ont conseillé cela, si je veux avoir une œuvre de belle facture », a-t-il indiqué. Vu la prouesse, quant à la créativité et l’originalité musicale dont fait preuve l’artiste, le projet mérite d’être soutenu. L’album en vue va comporter 10 titres qui ont déjà été choisis. Six morceaux classiques (avec musique et voix), deux interprétations instrumentales à l’orgue et au piano et deux autres à partir d’instruments traditionnels, en particulier la sanza, dont l’auteur veut faire la promotion. « J’envisage introduire l’étude de la sanza dans les écoles artistiques », a-t-il confié. Pour l’arrangeur chargé du volet technique de la réalisation de l’œuvre, Laurent Noah, c’est un véritable coup de maître dont a fait preuve l’homme de culture. « C’est une œuvre de très bonne qualité que nous prévoyons. Elle scrute la profondeur de la culture locale. La production permettra de mettre en exergue tout le bien que nous pensons d’elle », estime-t-il. En attendant, Zadi Zaourou attend, comme tout artiste débutant, qu’un producteur ait confiance en lui.
Sanou Amadou (stagiaire)
Après la phase de répétitions, vient celle de la réalisation de l’album. L’ex-ministre de la Culture, professeur de lettres et écrivain, Bernard Zadi Zaourou est à la recherche d’un producteur. Engagé à mettre sur le marché une œuvre discographique, le maître a arrêté les répétitions qui avaient lieu à l’école panafricaine Kiyi M’Bock, le temple de Wêrê-wêrê Liking à la Riviera. Et, le projet qui devait entamer son cycle d’exécution a été budgétisé à 15 millions de Fcfa. « J’ai dû arrêter les répétitions. Nous sommes à la recherche de producteur. Nous avons besoin de 15 millions », a-t-il informé. Soit six millions pour une première phase d’enregistrement, prévue à Abidjan, quatre millions pour l’arrangement qui s’effectuera à Paris et cinq millions pour la promotion de l’œuvre. De quoi faire prendre du recul. « Je ne sais rien de ces choses. C’est Laurent Noah et Wêrê-wêrê qui m’ont conseillé cela, si je veux avoir une œuvre de belle facture », a-t-il indiqué. Vu la prouesse, quant à la créativité et l’originalité musicale dont fait preuve l’artiste, le projet mérite d’être soutenu. L’album en vue va comporter 10 titres qui ont déjà été choisis. Six morceaux classiques (avec musique et voix), deux interprétations instrumentales à l’orgue et au piano et deux autres à partir d’instruments traditionnels, en particulier la sanza, dont l’auteur veut faire la promotion. « J’envisage introduire l’étude de la sanza dans les écoles artistiques », a-t-il confié. Pour l’arrangeur chargé du volet technique de la réalisation de l’œuvre, Laurent Noah, c’est un véritable coup de maître dont a fait preuve l’homme de culture. « C’est une œuvre de très bonne qualité que nous prévoyons. Elle scrute la profondeur de la culture locale. La production permettra de mettre en exergue tout le bien que nous pensons d’elle », estime-t-il. En attendant, Zadi Zaourou attend, comme tout artiste débutant, qu’un producteur ait confiance en lui.
Sanou Amadou (stagiaire)
