Les fortes pluies qui s’abattent sur la cité de la Nawa ont donné un coup d’accélérateur au grand banditisme. Une des grosses victimes de ce regain d’activités de malfrats est dame K. A. A. 42 ans couturière de son état et originaire du département de Bocanda.
Au dire de la dame les faits se sont déroulés dans la nuit du 31 août au 01 septembre ; les 02 heures du matin venaient de sonner. Ce jour-là, comme presque toutes les nuits, la pluie a contraint les populations à vite aller au lit. C’est le moment choisi par des bandits pour descendre dans la cour commune où elle vit avec son amant B. B. T. A. Les bandits au nombre de 3 s’attaquent à un premier domicile en forçant la porte. Mais une fois à l’intérieur, l’un d’eux s’écrie : ‘’ce n’est pas ici, allons voir de l’autre côté.’’ Tous les 03 mettent le cap sur la chambre - salon de dame K. et son époux. Une fois à l’intérieur, l’un d’eux se précipite sur la dame en la menaçant de son fusil. ‘’Nous sommes venus pour te tuer, et cette fois, tu ne nous échapperas pas.’’ Malgré ses supplications et la somme qu’elle leur a remise, elle sera d’abord aveuglée par une substance, puis les malfrats lui tranchent la main gauche avec une machette. Les bandits après leur forfait remettre le moignon de main ensanglanté au mari. Dame K. A. observe que ce n’est pas la première fois qu’elle et son amant reçoivent la visite des malfrats. En effet, il y a moins de trois semaines ces malfaiteurs s’étaient attaqués sans succès à des couples au quartier Dioulabougou près de la grande mosquée. C’est d’ailleurs pour se mettre à l’abri qu’elle et son mari ont changé de quartier. Mais les bandits, tenaces ont retrouvé ses traces pour lui arracher la main gauche. Selon des sources hospitalières, avec les fortes pluies, des agressions à mains armées se sont multipliées, car c’est presque tous les matins que des blessés sont admis à l’hôpital général de Soubré. En attendant de couper la route à ces bandits, les supputations vont bon train, chacun y allant de son commentaire. Face à cette insécurité galopante, les populations souhaitent une plus grande vigilante des forces de l’ordre notamment les policiers pour mettre ces criminels en déroute.
KM Nadège à Soubré
Au dire de la dame les faits se sont déroulés dans la nuit du 31 août au 01 septembre ; les 02 heures du matin venaient de sonner. Ce jour-là, comme presque toutes les nuits, la pluie a contraint les populations à vite aller au lit. C’est le moment choisi par des bandits pour descendre dans la cour commune où elle vit avec son amant B. B. T. A. Les bandits au nombre de 3 s’attaquent à un premier domicile en forçant la porte. Mais une fois à l’intérieur, l’un d’eux s’écrie : ‘’ce n’est pas ici, allons voir de l’autre côté.’’ Tous les 03 mettent le cap sur la chambre - salon de dame K. et son époux. Une fois à l’intérieur, l’un d’eux se précipite sur la dame en la menaçant de son fusil. ‘’Nous sommes venus pour te tuer, et cette fois, tu ne nous échapperas pas.’’ Malgré ses supplications et la somme qu’elle leur a remise, elle sera d’abord aveuglée par une substance, puis les malfrats lui tranchent la main gauche avec une machette. Les bandits après leur forfait remettre le moignon de main ensanglanté au mari. Dame K. A. observe que ce n’est pas la première fois qu’elle et son amant reçoivent la visite des malfrats. En effet, il y a moins de trois semaines ces malfaiteurs s’étaient attaqués sans succès à des couples au quartier Dioulabougou près de la grande mosquée. C’est d’ailleurs pour se mettre à l’abri qu’elle et son mari ont changé de quartier. Mais les bandits, tenaces ont retrouvé ses traces pour lui arracher la main gauche. Selon des sources hospitalières, avec les fortes pluies, des agressions à mains armées se sont multipliées, car c’est presque tous les matins que des blessés sont admis à l’hôpital général de Soubré. En attendant de couper la route à ces bandits, les supputations vont bon train, chacun y allant de son commentaire. Face à cette insécurité galopante, les populations souhaitent une plus grande vigilante des forces de l’ordre notamment les policiers pour mettre ces criminels en déroute.
KM Nadège à Soubré
