Le RDR et ses militants ne répondront pas à la provocation de Laurent Gbagbo et du FPI. Le samedi 4 septembre dernier à Port-Bouët, à l’occasion de la rentrée politique de la Direction de campagne d’Abidjan-Sud, le Secrétaire général délégué du RDR et Directeur national de campagne du Dr Alassane Dramane Ouattara, M. Amadou Gon Coulibaly a été très clair. « Ayant échoué dans sa tentative de réduire le corps électoral, Gbagbo croit qu’il peut intimider les Ivoiriens. Il pense qu’il est possible de faire en sorte que les Ivoiriens aient peur de son discours ou qu’il ait la capacité par son discours de les empêcher de voter. Mais, c’est mal connaître le peuple de Côte d’Ivoire », a prévenu le ministre Amadou Gon Coulibaly.
En effet, après avoir exigé en vain la radiation d’une bonne partie des Ivoiriens de la liste électorale, Laurent Gbagbo a décidé d’explorer le chemin de l’intimidation comme le dernier ‘’kata’’ pouvant lui permettre d’espérer remporter l’élection présidentielle du 31 octobre prochain. C’est pourquoi, depuis quelques temps, l’homme ne cesse d’emprunter au vocabulaire guerrier dans ses différentes sorties. Il utilise de plus en plus un lexique de violence, avec des expressions comme « Si je tombe, vous tombez », « il faut mâter sévèrement », etc. Pour Amadou Gon Coulibaly, cette forme de violence verbale dans laquelle s’inscrit Laurent Gbagbo et qui trahit manifestement une paranoïa, démontre à quel point l’homme est coincé. Raison pour laquelle, ajoute le DNC d’ADO, il s’agite dans tous les sens. « Mais qu’il sache qu’aucune intimidation ne passera le 31 octobre et qu’aucune intimidation ne passera après le 31 octobre », a averti le ministre Gon Coulibaly. Avant de mettre en garde le FPI et son leader : « Si c’est la violence qu’ils veulent nous opposer, nous n’en voulons pas. Mais s’ils nous imposent la violence, il faut qu’il intègre qu’ils sont mortels. Parce que Dieu est pour tout le monde », a martelé celui que les militants du RDR appellent affectueusement le « Lion ». Selon lui, après dix années de destruction, la Côte d’Ivoire a besoin d’être reconstruite. « Mais pas avec les refondateurs, parce qu’ils ne le peuvent pas. Gbagbo parle, et il continue de parler sans passer aux actes pour bonheur des Ivoiriens », a-t-il noté. Tout en indiquant que le combat où il fallait faire élire un homme sans programme est dépassé. « Aujourd’hui, il y a énormément de travail à faire, pour que notre pays se lève et sorte de la souffrance. Et c’est avec le Dr Alassane Dramane Ouattara que cela sera possible », a-t-il conseillé.
Une réplique au FPI, qui n’a qu’un seul objectif : Créer des troubles, effrayer les Ivoiriens et en profiter pour faire un passage en force lors de cette élection présidentielle. Mais le dos du nageur a vite été découvert.
Diawara Samou
En effet, après avoir exigé en vain la radiation d’une bonne partie des Ivoiriens de la liste électorale, Laurent Gbagbo a décidé d’explorer le chemin de l’intimidation comme le dernier ‘’kata’’ pouvant lui permettre d’espérer remporter l’élection présidentielle du 31 octobre prochain. C’est pourquoi, depuis quelques temps, l’homme ne cesse d’emprunter au vocabulaire guerrier dans ses différentes sorties. Il utilise de plus en plus un lexique de violence, avec des expressions comme « Si je tombe, vous tombez », « il faut mâter sévèrement », etc. Pour Amadou Gon Coulibaly, cette forme de violence verbale dans laquelle s’inscrit Laurent Gbagbo et qui trahit manifestement une paranoïa, démontre à quel point l’homme est coincé. Raison pour laquelle, ajoute le DNC d’ADO, il s’agite dans tous les sens. « Mais qu’il sache qu’aucune intimidation ne passera le 31 octobre et qu’aucune intimidation ne passera après le 31 octobre », a averti le ministre Gon Coulibaly. Avant de mettre en garde le FPI et son leader : « Si c’est la violence qu’ils veulent nous opposer, nous n’en voulons pas. Mais s’ils nous imposent la violence, il faut qu’il intègre qu’ils sont mortels. Parce que Dieu est pour tout le monde », a martelé celui que les militants du RDR appellent affectueusement le « Lion ». Selon lui, après dix années de destruction, la Côte d’Ivoire a besoin d’être reconstruite. « Mais pas avec les refondateurs, parce qu’ils ne le peuvent pas. Gbagbo parle, et il continue de parler sans passer aux actes pour bonheur des Ivoiriens », a-t-il noté. Tout en indiquant que le combat où il fallait faire élire un homme sans programme est dépassé. « Aujourd’hui, il y a énormément de travail à faire, pour que notre pays se lève et sorte de la souffrance. Et c’est avec le Dr Alassane Dramane Ouattara que cela sera possible », a-t-il conseillé.
Une réplique au FPI, qui n’a qu’un seul objectif : Créer des troubles, effrayer les Ivoiriens et en profiter pour faire un passage en force lors de cette élection présidentielle. Mais le dos du nageur a vite été découvert.
Diawara Samou