ABIDJAN - Le procès des anciens dirigeants de la filière cacao en Côte d`Ivoire, premier producteur mondial, soupçonnés de malversations massives et incarcérés depuis juin 2008, s`est ouvert mercredi à Abidjan, a constaté un journaliste de l`AFP.
Vingt-cinq prévenus dont sept femmes, étaient à la barre du tribunal correctionnel du Plateau, quartier administratif et des affaires de la capitale économique ivoirienne.
Un important dispositif de sécurité a été mis en place aux abords du Palais de justice.
Au total, 28 ex-responsables, dont 24 sont actuellement en prison, sont poursuivis pour "détournement de fonds, abus de confiance, abus de biens sociaux, escroquerie, faux et usage de faux en écriture privée de banque".
Ouverte en octobre 2007 à la demande du président Laurent Gbagbo, une vaste enquête judiciaire avait débouché sur l`arrestation en juin 2008 de la quasi-totalité des responsables de la juteuse filière dont des proches du chef de l`Etat.
Leur incarcération, prolongée sans jugement dans des délais hors normes, avait été suivie de la création d`un comité de gestion provisoire de la filière remplaçant les diverses structures.
Le cacao et le café représentent environ 20% du PIB ivoirien.
Vingt-cinq prévenus dont sept femmes, étaient à la barre du tribunal correctionnel du Plateau, quartier administratif et des affaires de la capitale économique ivoirienne.
Un important dispositif de sécurité a été mis en place aux abords du Palais de justice.
Au total, 28 ex-responsables, dont 24 sont actuellement en prison, sont poursuivis pour "détournement de fonds, abus de confiance, abus de biens sociaux, escroquerie, faux et usage de faux en écriture privée de banque".
Ouverte en octobre 2007 à la demande du président Laurent Gbagbo, une vaste enquête judiciaire avait débouché sur l`arrestation en juin 2008 de la quasi-totalité des responsables de la juteuse filière dont des proches du chef de l`Etat.
Leur incarcération, prolongée sans jugement dans des délais hors normes, avait été suivie de la création d`un comité de gestion provisoire de la filière remplaçant les diverses structures.
Le cacao et le café représentent environ 20% du PIB ivoirien.