Le PDCI-RDA fait, depuis plus d’une dizaine d’années, l’amère expérience de l’opposition à laquelle, il n’était pas habitué. Ce qui a eu pour conséquence de faire adopter à certains responsables du parti des attitudes de tenant du pouvoir, alors que la formation politique chère à Félix Houphouët-Boigny est challenger. Or pour la reconquête du pouvoir, il ne s’agit pas de dormir sur les vestiges d’un passé glorieux mais d’aller au charbon afin d’arracher le pouvoir à qui le détient. En l’occurrence le FPI qui lui, dispose des moyens de l’Etat mais peu également compter sur des personnes ressources que le chef des refondateurs a si placé à certains points stratégiques afin de se constituer le nerf de la guerre. C’est ce que certains militants du PDCI devraient comprendre. Le Président Henri Konan Bédié n’est plus aux affaires voici bientôt 10 ans. Même si ses rentes et ses revenus personnels lui ont permis de vivre de façon décente jusqu’à ce jour, il faut également comprendre que comme la pile, l’argent s’amenuise lorsque l’on s’en sert. Et il faut convenir que 10 ans, ça rogne son bas de laine.
Or, la conquête du pouvoir coûte cher et l’on a beau taxer les militants du PDCI au somment de riches, il n’en est pas moins vrai que 10 ans de lutte ça use. C’est pour cela que les délégués devraient comprendre qu’il ne sert à rien de tout attendre du parti voire du président Bédié pour commencer à travailler sur le terrain. Car si, même le parti au pouvoir compte ses billes alors que les moyens ne devrait pas du tout faire défaut au FPI, que peut-il en être du Pdci ? Fort heureusement, dans cette grisaille, il existe des personnes aussi bien physique que morale pour travailler au rayonnement du parti ainsi qu’à la victoire prochaine du président Henri Konan Bédié. Tandis que certains travaillent au grand jour, d’autres ne chôment pas. S’investissant corps et âme dans l’ombre à faire accepter, comme la goutte qui petit à petit effrite le rocher, le pdci et son président à des millions d’Ivoiriens. Dont certains ont tôt fait de choisir le camp de l’argent. Au nombre de ceux qui travaillent dans l’ombre au retour du PDCI et du président au pouvoir, l’on peut sans fausse modestie compter le quotidien Le Mandat. Qui sans moyens, sans appui mais rien qu’avec la farouche volonté de ses responsables premiers et du personnel, sans tambour ni trompette œuvre à la victoire très prochaine du président Henri Konan Bédié. Dans tous les cas, la victoire n’est pas loin. Et le « Mandat » y travaille.
Urbain Kadjo
Or, la conquête du pouvoir coûte cher et l’on a beau taxer les militants du PDCI au somment de riches, il n’en est pas moins vrai que 10 ans de lutte ça use. C’est pour cela que les délégués devraient comprendre qu’il ne sert à rien de tout attendre du parti voire du président Bédié pour commencer à travailler sur le terrain. Car si, même le parti au pouvoir compte ses billes alors que les moyens ne devrait pas du tout faire défaut au FPI, que peut-il en être du Pdci ? Fort heureusement, dans cette grisaille, il existe des personnes aussi bien physique que morale pour travailler au rayonnement du parti ainsi qu’à la victoire prochaine du président Henri Konan Bédié. Tandis que certains travaillent au grand jour, d’autres ne chôment pas. S’investissant corps et âme dans l’ombre à faire accepter, comme la goutte qui petit à petit effrite le rocher, le pdci et son président à des millions d’Ivoiriens. Dont certains ont tôt fait de choisir le camp de l’argent. Au nombre de ceux qui travaillent dans l’ombre au retour du PDCI et du président au pouvoir, l’on peut sans fausse modestie compter le quotidien Le Mandat. Qui sans moyens, sans appui mais rien qu’avec la farouche volonté de ses responsables premiers et du personnel, sans tambour ni trompette œuvre à la victoire très prochaine du président Henri Konan Bédié. Dans tous les cas, la victoire n’est pas loin. Et le « Mandat » y travaille.
Urbain Kadjo