Comment te portes-tu, Florence ?
De mieux en mieux !
As-tu des douleurs à la tête ?
Non.
T’arrive-t-il de regarder ton visage dans un miroir ?
Oui.
Et qu’as-tu constaté ?
Il y a un changement. Mon visage est de moins en moins enflé.
Comment se passe ton séjour ici?
Je dors beaucoup.
Le traitement est-il facile ?
Pas de problème. Juste des démangeaisons parfois.
Par quoi commencent tes journées et comment se terminent-elles ?
Je me réveille à 7 heures. Je prends le petit déjeuner, et je prends mes médicaments. Ensuite, je sors pour marcher un peu, et je reviens me coucher. Le soir, je regarde la télé.
Qu’aimes-tu à la télé ?
Les films. (Elle suit beaucoup plus les séries sud-américaines)
Qu’aimes-tu manger ?
Du riz, du foutou, du placali…
Quel aliment n’aimes-tu pas ?
Le haricot.
Le père Abékan t’a amenée découvrir la plage à Bonoua. As-tu aimé cela ?
Oui. Je n’avais jamais vu la mer. Mon papa (le père Abékan) a voulu que je nage. J’ai refusé parce que j’avais peur ce jour-là. Mais je veux y retourner parce que c’est un bon endroit.
Penses-tu souvent à tes parents restés au village ?
J’ai envie de les voir. Je n’ai pas eu de contact avec eux depuis mon arrivée à Abidjan.
Pourquoi ?
Je ne sais pas comment les joindre. Je n’ai pas de téléphone.
Quel message veux-tu adresser aux Ivoiriens
Je leur dis merci pour leur soutien.
Entretien réalisé par C.S.
De mieux en mieux !
As-tu des douleurs à la tête ?
Non.
T’arrive-t-il de regarder ton visage dans un miroir ?
Oui.
Et qu’as-tu constaté ?
Il y a un changement. Mon visage est de moins en moins enflé.
Comment se passe ton séjour ici?
Je dors beaucoup.
Le traitement est-il facile ?
Pas de problème. Juste des démangeaisons parfois.
Par quoi commencent tes journées et comment se terminent-elles ?
Je me réveille à 7 heures. Je prends le petit déjeuner, et je prends mes médicaments. Ensuite, je sors pour marcher un peu, et je reviens me coucher. Le soir, je regarde la télé.
Qu’aimes-tu à la télé ?
Les films. (Elle suit beaucoup plus les séries sud-américaines)
Qu’aimes-tu manger ?
Du riz, du foutou, du placali…
Quel aliment n’aimes-tu pas ?
Le haricot.
Le père Abékan t’a amenée découvrir la plage à Bonoua. As-tu aimé cela ?
Oui. Je n’avais jamais vu la mer. Mon papa (le père Abékan) a voulu que je nage. J’ai refusé parce que j’avais peur ce jour-là. Mais je veux y retourner parce que c’est un bon endroit.
Penses-tu souvent à tes parents restés au village ?
J’ai envie de les voir. Je n’ai pas eu de contact avec eux depuis mon arrivée à Abidjan.
Pourquoi ?
Je ne sais pas comment les joindre. Je n’ai pas de téléphone.
Quel message veux-tu adresser aux Ivoiriens
Je leur dis merci pour leur soutien.
Entretien réalisé par C.S.