Hier dimanche, Adama Toungara, maire de la commune d`Abobo a apporté son réconfort et exprimé sa compassion à la famille du jeune Coulibaly Ismaël Junior, tué par balles selon des sources dignes de foi par un policier en civil. Le premier magistrat de cette cité et la forte délégation qui l`accompagnaient, ont présenté leurs sincères condoléances au père du défunt Coulibaly Lassina, très en peine et à toute la famille regroupée dans la cour familiale à Abobo, quartier Marché. Toungara a déploré ce qui s`est passé, avant d`annoncer qu`il prendra des dispositions afin que Ismaël Junior soit inhumé dans la dignité. Aussi a-t-il demandé à ses parents de l`informer de la décision qu`ils prendront en ce qui concerne les obsèques. Avant de quitter les lieux, le maire a fait un don à la famille. Celle-ci, par la voix de son porte-parole a salué le geste et dit merci au maire pour avoir fait le déplacement. Retenons que le jour du meurtre, dès qu`il a été informé du drame, Toungara s`est rendu sur les lieux du crime à la casse pour s`enquérir des nouvelles du défunt et du meurtrier. A l’occasion, il a pu calmer les nombreux jeunes qui voulaient mettre la main sur l`individu qui a commis le crime. L`incident malheureux est survenu samedi après-midi.
Au jour le jour
Section RJR de Tiémassoba
Le président Touré Souleymane investi le 25 septembre
Pas doute. Il n’oubliera pas de sitôt cette date. Le 25 septembre prochain, Touré Souleymane, plus connu sous le pseudonyme de Piment, président RJR de la commune de Tiémassoba, sous-préfecture de Massala, sera investi à partir de 9h. La manifestation est placée sous la présidence de Traoré Karamoko, dit Yéyé massa, père spirituel de la jeunesse locale, et le co-parrainage de Diomandé Idrissa, 4ème vice-président du Conseil général de Séguéla et de Dosso Mamadou, conseiller. Dans la région, Piment est connu pour son engagement sans faille pour le RDR, un parti qu’il sert depuis de longues années, avec hargne et détermination. « Je m’attellerai dès ma prise de fonction de faire en sorte que tous les jeunes de Tiémassoba votent sans concession notre le Dr Alassane Ouattara, qui incarne le renouveau de la Côte d’Ivoire », promet-il.
Campagne présidentielle
ADO dans le peuple, Gbagbo à la télévision
Dans sa théorie sur l’Etat, le philosophe Louis Althusser a distingué plusieurs types d’appareils idéologiques d’Etat dont trois ont marqué les théoriciens de la pensée politique. Tout dirigeant qui a des velléités dictatoriales a tendance à embrigader ces deux appareils d’Etat. Il s’agit de l’armée et les mass médias. Aujourd’hui, c’est une vérité de Lapalisse que de dire que le candidat Laurent Gbagbo a confisqué les médias d’Etat, non seulement à son profit mais à celui de son clan. Et ce, au grand dam de toute éthique politique. Il y fait campagne tous azimuts. Des émissions spéciales sont organisées pour lui offrir des plateaux afin qu’il dise ce qu’il veut sur ses adversaires politiques. Une véritable propagande est organisée par la télévision nationale pour salir les opposants au candidat Gbagbo, au vu et au su de tous les organes sensés veiller au respect de la neutralité des médias publics en période électorale. Celui qui se fait se prévaut du double statut de « candidat 100%, président 100% », en profite pour entreprendre sa campagne électorale sous l’insidieux manteau de visite d’Etat. Il ne s’arrête pas là. L’homme attise la haine entre les Ivoiriens. « Moi, je suis le candidat des Ivoiriens et de l’Afrique. Les autres sont les candidats des ennemis de la Côte d’Ivoire, ceux qui ont pris les armes », ne cesse-t-il de répéter. Un discours qui tranche avec celui d’un président de la République à qui la loi fondamentale impose l’obligation de garantir l’unité nationale et la cohésion sociale. Par manque de programme de gouvernement pertinent, le candidat Gbagbo tombe dans les invectives et les menaces gratuites. Et tout ceci par la magie et l’appui du petit écran. En vérité, Gbagbo ne peut affronter le peuple faute de bilan positif et de proposition à même de redonner espoir aux Ivoiriens. La Refondation qui a été une grosse arnaque, apparaît aujourd’hui comme un disque rayé. Le peuple y accorde peu d’importance. D’où cette prise en otage des médias publics où l’homme fait feu de tout bois. A contrario, le candidat Alassane Dramane Ouattara, en homme pragmatique, descend dans l’arène pour toucher du doigt les dures réalités auxquelles sont confrontées ses concitoyens. Il a un programme à proposer à ses compatriotes. Un programme qui, de l’avis de tous les observateurs sérieux, est alléchant voire révolutionnaire. 10.000 milliards de FCFA c’est le coût de l’ordonnance du Dr. Alassane Dramane Ouattara pour guérir le grand malade qu’est devenue la Côte d’Ivoire. Une thérapie de choc avec une posologie adéquate. Une telle ordonnance a besoin d’être expliquée. C’est pourquoi, ADO depuis le 9 mai 2009, parcourt le pays pour partager sa vision d’une Côte d’Ivoire nouvelle avec ses compatriotes. 17 régions sur 19 que compte le pays, ont été visitées. 23.940 km parcourus par le candidat Ouattara. Des millions d’Ivoiriens rencontrés dans les écoles, les marchés, les lieux de culte, les quartiers. ADO a communié avec eux directement et non à travers le petit écran. Le candidat Ouattara est dans le peuple. Qui dit mieux ?
IBK
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Le président Touré Souleymane investi le 25 septembre
Pas doute. Il n’oubliera pas de sitôt cette date. Le 25 septembre prochain, Touré Souleymane, plus connu sous le pseudonyme de Piment, président RJR de la commune de Tiémassoba, sous-préfecture de Massala, sera investi à partir de 9h. La manifestation est placée sous la présidence de Traoré Karamoko, dit Yéyé massa, père spirituel de la jeunesse locale, et le co-parrainage de Diomandé Idrissa, 4ème vice-président du Conseil général de Séguéla et de Dosso Mamadou, conseiller. Dans la région, Piment est connu pour son engagement sans faille pour le RDR, un parti qu’il sert depuis de longues années, avec hargne et détermination. « Je m’attellerai dès ma prise de fonction de faire en sorte que tous les jeunes de Tiémassoba votent sans concession notre le Dr Alassane Ouattara, qui incarne le renouveau de la Côte d’Ivoire », promet-il.
Campagne présidentielle
ADO dans le peuple, Gbagbo à la télévision
Dans sa théorie sur l’Etat, le philosophe Louis Althusser a distingué plusieurs types d’appareils idéologiques d’Etat dont trois ont marqué les théoriciens de la pensée politique. Tout dirigeant qui a des velléités dictatoriales a tendance à embrigader ces deux appareils d’Etat. Il s’agit de l’armée et les mass médias. Aujourd’hui, c’est une vérité de Lapalisse que de dire que le candidat Laurent Gbagbo a confisqué les médias d’Etat, non seulement à son profit mais à celui de son clan. Et ce, au grand dam de toute éthique politique. Il y fait campagne tous azimuts. Des émissions spéciales sont organisées pour lui offrir des plateaux afin qu’il dise ce qu’il veut sur ses adversaires politiques. Une véritable propagande est organisée par la télévision nationale pour salir les opposants au candidat Gbagbo, au vu et au su de tous les organes sensés veiller au respect de la neutralité des médias publics en période électorale. Celui qui se fait se prévaut du double statut de « candidat 100%, président 100% », en profite pour entreprendre sa campagne électorale sous l’insidieux manteau de visite d’Etat. Il ne s’arrête pas là. L’homme attise la haine entre les Ivoiriens. « Moi, je suis le candidat des Ivoiriens et de l’Afrique. Les autres sont les candidats des ennemis de la Côte d’Ivoire, ceux qui ont pris les armes », ne cesse-t-il de répéter. Un discours qui tranche avec celui d’un président de la République à qui la loi fondamentale impose l’obligation de garantir l’unité nationale et la cohésion sociale. Par manque de programme de gouvernement pertinent, le candidat Gbagbo tombe dans les invectives et les menaces gratuites. Et tout ceci par la magie et l’appui du petit écran. En vérité, Gbagbo ne peut affronter le peuple faute de bilan positif et de proposition à même de redonner espoir aux Ivoiriens. La Refondation qui a été une grosse arnaque, apparaît aujourd’hui comme un disque rayé. Le peuple y accorde peu d’importance. D’où cette prise en otage des médias publics où l’homme fait feu de tout bois. A contrario, le candidat Alassane Dramane Ouattara, en homme pragmatique, descend dans l’arène pour toucher du doigt les dures réalités auxquelles sont confrontées ses concitoyens. Il a un programme à proposer à ses compatriotes. Un programme qui, de l’avis de tous les observateurs sérieux, est alléchant voire révolutionnaire. 10.000 milliards de FCFA c’est le coût de l’ordonnance du Dr. Alassane Dramane Ouattara pour guérir le grand malade qu’est devenue la Côte d’Ivoire. Une thérapie de choc avec une posologie adéquate. Une telle ordonnance a besoin d’être expliquée. C’est pourquoi, ADO depuis le 9 mai 2009, parcourt le pays pour partager sa vision d’une Côte d’Ivoire nouvelle avec ses compatriotes. 17 régions sur 19 que compte le pays, ont été visitées. 23.940 km parcourus par le candidat Ouattara. Des millions d’Ivoiriens rencontrés dans les écoles, les marchés, les lieux de culte, les quartiers. ADO a communié avec eux directement et non à travers le petit écran. Le candidat Ouattara est dans le peuple. Qui dit mieux ?
IBK