Les différents responsables d’ONG approchés dans leur majorité ont suggéré que les bailleurs qui se trouvent à l’extérieur de la Côte d’Ivoire se rendent sur le terrain et constatent d’eux même le travail effectué par les ONG. Et cela afin de les financer directement sans intermédiaires. Mme Camara Bernadette de l’ONG ‘’Fraternité pour tous les peuples’’ a préconisé que les bailleurs rentrent directement en contact avec les ONG sur le terrain ou approchent les préfets qui sont les président régionaux de la lutte. Ceux-ci pourront leur indiquer les ONG qui travaillent effectivement sur le terrain. Elle a également souhaité que le traitement des maladies opportunistes telles que les IST soient financées par les projets car les coûts de la prise en charge sont exorbitants entrainant parfois la mort du malade qui n’a pas souvent les moyens de s’acheter les médicaments. Quand au président de l’ONG ‘’Côte d’Ivoire sans sida’’, il a souhaité des missions régulières des bailleurs de fonds sur le terrain et que ceux-ci accordent plus de financement de projet à Divo. Où la séroprévalence d’un taux de 5,5 % reste encore très élevée.
Quant aux malades que nous avons rencontrés, ils ont dans leur majorité souhaité que des activités génératrices de revenus soient financées pour leur permettre d’être indépendants et d’éviter la prostitution en vue de trouver les moyens pour se soigner. Le gouvernement a donc été prié par certains malades de faire en sorte que les ruptures prennent définitivement fin afin de leur éviter des complications. Des ateliers d’informations ont été également suggérés avec les ONG de personnes vivant avec le VIH-Sida pour connaître leurs réels besoins. Les campagnes de sensibilisation sont suffisantes, disent certaines ONG. Il faut plutôt se pencher sur des subventions d’activités génératrices de revenus pour soutenir les malades. Une enquête sur le terrain par les bailleurs de fonds étrangers a été également suggérée pour éviter les surfacturations des financements et connaître les vraies réalités du terrain.
Assassé WILLIAM
Quant aux malades que nous avons rencontrés, ils ont dans leur majorité souhaité que des activités génératrices de revenus soient financées pour leur permettre d’être indépendants et d’éviter la prostitution en vue de trouver les moyens pour se soigner. Le gouvernement a donc été prié par certains malades de faire en sorte que les ruptures prennent définitivement fin afin de leur éviter des complications. Des ateliers d’informations ont été également suggérés avec les ONG de personnes vivant avec le VIH-Sida pour connaître leurs réels besoins. Les campagnes de sensibilisation sont suffisantes, disent certaines ONG. Il faut plutôt se pencher sur des subventions d’activités génératrices de revenus pour soutenir les malades. Une enquête sur le terrain par les bailleurs de fonds étrangers a été également suggérée pour éviter les surfacturations des financements et connaître les vraies réalités du terrain.
Assassé WILLIAM
