Depuis le 31 janvier 2009, il dirige avec poigne l’UCFFY et ses 68 centres de formation de football. Passionné de football, Dao Mamadou se dit très heureux du retour des compétitions de jeunes, organisées par la FIF, à Yopougon.
Combien de centres de formation revendiquez-vous à Yopougon ?
Exactement 107. Parmi eux, 60 sont affiliés à la Fédération ivoirienne de football (FIF) et 68 autres sont affiliés à l’UCFFY. Et parmi nos 68 centres, 48 sont affiliés à la FIF.
L’absence des compétitions de jeunes organisées par la FIF depuis 2006 ne vous a-t-elle pas causé un handicap ?
Oui, un grand tort. C’est clair ! Chaque fois que nous approchions les responsables fédéraux, ils nous rétorquaient que les championnats de jeunes n’étaient pas bien organisés. Dieu merci, depuis quelques jours, la FIF a lancé un projet-pilote pour une compétition réservée aux cadets pour le moment.
Etes-vous satisfait ?
C’est une reprise partielle car seuls les cadets jouent. Nous aurions souhaité que toutes les catégories y participent. C’est un championnat-pilote pour permettre de voir comment un vrai championnat national de jeunes peut être organisé.
Comment occupiez-vous vos gamins durant ces quatre ans sans compétitions ?
Nous essayons de nous organiser comme nous pouvons en faisant compétir les centres de formation sous notre tutelle.
Avec un nombre aussi élevé de centres de formation de football, comment expliquez-vous que Yopougon n’ait aucun club en Ligue 1 ?
C’est notre préoccupation. C’est difficile de rassembler tout le monde sous la même bannière. A Yopougon, nous avons beaucoup de mal à avoir un club représentatif. Je rappelle toutefois que Yopougon FC (ex-Oryx) évolue en Ligue 2. Nous avons approché les responsables de ce club afin de permettre à nos meilleurs éléments d’y jouer.
L’UCFFY bénéficie-t-elle du soutien de la FIF ?
Nous bénéficions plutôt de sa caution morale ; c’est tout.
Qu’attendez-vous de la Maison de verre ?
Une aide matérielle et financière. Mais surtout une reconnaissance du travail que nous abattons à Yopougon.
Quels sont vos besoins ?
Nous avons besoin d’équipements et d’un fonds pour mieux organiser nos championnats.
Quel a été le regard de la direction technique nationale (DTN) qui sillonne les différents centres de formation de football en vue de leur classification ?
La DTN a été bien accueillie et a été conduite dans tous les coins et recoins de Yopougon pour que le travail soit bien fait. C’est une bonne chose. Cela permettra d’être situé sur la qualité des centres et d’orienter les parents qui désirent former leurs enfants.
Entretien réalisé par Guy-Florentin Yaméogo
Combien de centres de formation revendiquez-vous à Yopougon ?
Exactement 107. Parmi eux, 60 sont affiliés à la Fédération ivoirienne de football (FIF) et 68 autres sont affiliés à l’UCFFY. Et parmi nos 68 centres, 48 sont affiliés à la FIF.
L’absence des compétitions de jeunes organisées par la FIF depuis 2006 ne vous a-t-elle pas causé un handicap ?
Oui, un grand tort. C’est clair ! Chaque fois que nous approchions les responsables fédéraux, ils nous rétorquaient que les championnats de jeunes n’étaient pas bien organisés. Dieu merci, depuis quelques jours, la FIF a lancé un projet-pilote pour une compétition réservée aux cadets pour le moment.
Etes-vous satisfait ?
C’est une reprise partielle car seuls les cadets jouent. Nous aurions souhaité que toutes les catégories y participent. C’est un championnat-pilote pour permettre de voir comment un vrai championnat national de jeunes peut être organisé.
Comment occupiez-vous vos gamins durant ces quatre ans sans compétitions ?
Nous essayons de nous organiser comme nous pouvons en faisant compétir les centres de formation sous notre tutelle.
Avec un nombre aussi élevé de centres de formation de football, comment expliquez-vous que Yopougon n’ait aucun club en Ligue 1 ?
C’est notre préoccupation. C’est difficile de rassembler tout le monde sous la même bannière. A Yopougon, nous avons beaucoup de mal à avoir un club représentatif. Je rappelle toutefois que Yopougon FC (ex-Oryx) évolue en Ligue 2. Nous avons approché les responsables de ce club afin de permettre à nos meilleurs éléments d’y jouer.
L’UCFFY bénéficie-t-elle du soutien de la FIF ?
Nous bénéficions plutôt de sa caution morale ; c’est tout.
Qu’attendez-vous de la Maison de verre ?
Une aide matérielle et financière. Mais surtout une reconnaissance du travail que nous abattons à Yopougon.
Quels sont vos besoins ?
Nous avons besoin d’équipements et d’un fonds pour mieux organiser nos championnats.
Quel a été le regard de la direction technique nationale (DTN) qui sillonne les différents centres de formation de football en vue de leur classification ?
La DTN a été bien accueillie et a été conduite dans tous les coins et recoins de Yopougon pour que le travail soit bien fait. C’est une bonne chose. Cela permettra d’être situé sur la qualité des centres et d’orienter les parents qui désirent former leurs enfants.
Entretien réalisé par Guy-Florentin Yaméogo