Investi d’une mission par le président de la FIF, l’ex-attaquant de l’Africa est confiant quant à la réussite du projet pilote de reprise du championnat des jeunes.
Pourquoi êtes-vous de moins en moins visible sur la scène nationale ?
J’avais juste pris du recul pour réfléchir à la nouvelle orientation à donner au football ivoirien. Aujourd’hui le président de la FIF Jacques Anouma m’a confié une mission.
Laquelle ?
Il souhaite que le championnat des jeunes reprenne après quatre ans de pose. Aussi bien au niveau de la FIF que des centres de formation, ce sera bénéfique. Jacques Anouma veut surtout un championnat qualitatif.
Comment les centres de formation ont-ils accueillis la bonne nouvelle ?
Avec joie. Les responsables des centres de formation de Yopougon ont été choisis pour un championnat réservé aux U17. Ce championnat qui sera à sa 3è journée, demain, regroupe 20 centres de formation. Il se joue sur quatre stades : Offoumou Yapo, BAE, Lycée technique et Lycée municipal (terminus 40). C’est un projet pilote. Après, nous verrons ce qu’il y a lieu d’en tirer. Nous verrons aussi la nouvelle orientation qui mérite d’être donnée au championnat des jeunes.
Comment jugez-vous le niveau technique des jeunes footballeurs après deux journées ?
Il est bon. Il manque juste un peu plus de rigueur et de sérieux surtout dans l’organisation. Celle-ci doit permettre le drainage de talents forts vers le sommet. C’est notre stratégie. Un rapport final sera d’ailleurs proposé à Jacques Anouma au terme de ce championnat.
l Quel est l’objectif à moyen terme de ce projet ?
Ressortir le type de compétition à mettre en place qui prend en compte, l’efficacité et le résultat. Cette compétition alimentera nos sélections cadettes et juniors. C’est le but de jeu.
A quels problèmes êtes-vous confronté sur le terrain ?
Nous partons sur le principe que les 20 meilleurs centres de formation de Yopougon, retenus, sont les meilleurs. Une commission nous aide à coordonner les rencontres qui se jouent. Nous supervisons et donnons les grandes lignes à suivre.
Existe-t-il une collaboration entre la DTN et vous ?
J’ai reçu un mandat clair de Jacques Anouma : « regardes nous les compétitions de jeunes. Fais nous un tournoi pilote à Yopougon. Malgré ce qui a été organisé à Abobo, nous n’avons toujours pas de visibilité. Vois, fais des propositions pour voir dans quel sens les nouvelles compétitions de jeunes peuvent être orientées… », m’a-t-il dit. Ma compétence est sollicitée. Je ne suis pas membre de la DTN. Je déposerai un rapport complet au président de la FIF au terme de ma mission.
Etes-vous pour la présence de footballeurs professionnels dans les sélections de jeunes ?
C’est le déficit de formation qui nous amène à aller chercher des joueurs de centres de formation en Europe. Croyez-moi ce déficit ne sera pas comblé maintenant. Il faut du temps. Il faut structurer, tout réorganiser pour ne plus à avoir besoin d’appeler de jeunes professionnels.
Etes-vous confiant quant au retour définitif des compétitions de jeunes en Côte d’Ivoire ?
Tout à fait ! Les meilleurs centres de formation vont être retenus pour compétir.
Entretien réalisé par Guy-Florentin Yaméogo
Pourquoi êtes-vous de moins en moins visible sur la scène nationale ?
J’avais juste pris du recul pour réfléchir à la nouvelle orientation à donner au football ivoirien. Aujourd’hui le président de la FIF Jacques Anouma m’a confié une mission.
Laquelle ?
Il souhaite que le championnat des jeunes reprenne après quatre ans de pose. Aussi bien au niveau de la FIF que des centres de formation, ce sera bénéfique. Jacques Anouma veut surtout un championnat qualitatif.
Comment les centres de formation ont-ils accueillis la bonne nouvelle ?
Avec joie. Les responsables des centres de formation de Yopougon ont été choisis pour un championnat réservé aux U17. Ce championnat qui sera à sa 3è journée, demain, regroupe 20 centres de formation. Il se joue sur quatre stades : Offoumou Yapo, BAE, Lycée technique et Lycée municipal (terminus 40). C’est un projet pilote. Après, nous verrons ce qu’il y a lieu d’en tirer. Nous verrons aussi la nouvelle orientation qui mérite d’être donnée au championnat des jeunes.
Comment jugez-vous le niveau technique des jeunes footballeurs après deux journées ?
Il est bon. Il manque juste un peu plus de rigueur et de sérieux surtout dans l’organisation. Celle-ci doit permettre le drainage de talents forts vers le sommet. C’est notre stratégie. Un rapport final sera d’ailleurs proposé à Jacques Anouma au terme de ce championnat.
l Quel est l’objectif à moyen terme de ce projet ?
Ressortir le type de compétition à mettre en place qui prend en compte, l’efficacité et le résultat. Cette compétition alimentera nos sélections cadettes et juniors. C’est le but de jeu.
A quels problèmes êtes-vous confronté sur le terrain ?
Nous partons sur le principe que les 20 meilleurs centres de formation de Yopougon, retenus, sont les meilleurs. Une commission nous aide à coordonner les rencontres qui se jouent. Nous supervisons et donnons les grandes lignes à suivre.
Existe-t-il une collaboration entre la DTN et vous ?
J’ai reçu un mandat clair de Jacques Anouma : « regardes nous les compétitions de jeunes. Fais nous un tournoi pilote à Yopougon. Malgré ce qui a été organisé à Abobo, nous n’avons toujours pas de visibilité. Vois, fais des propositions pour voir dans quel sens les nouvelles compétitions de jeunes peuvent être orientées… », m’a-t-il dit. Ma compétence est sollicitée. Je ne suis pas membre de la DTN. Je déposerai un rapport complet au président de la FIF au terme de ma mission.
Etes-vous pour la présence de footballeurs professionnels dans les sélections de jeunes ?
C’est le déficit de formation qui nous amène à aller chercher des joueurs de centres de formation en Europe. Croyez-moi ce déficit ne sera pas comblé maintenant. Il faut du temps. Il faut structurer, tout réorganiser pour ne plus à avoir besoin d’appeler de jeunes professionnels.
Etes-vous confiant quant au retour définitif des compétitions de jeunes en Côte d’Ivoire ?
Tout à fait ! Les meilleurs centres de formation vont être retenus pour compétir.
Entretien réalisé par Guy-Florentin Yaméogo