Le matin du dimanche 19 septembre dernier, des populations d’Azito, dans la grande commune de Yopougon, ont à leur réveil fait le constat d’une présence pour le moins incommodante. Celle d’un corps sans vie étendu sur le ventre, en dessous d’un fil de haute tension. Le défunt, la trentaine environ, torse nu et ne portant qu’un pantalon de couleur grise, a sur le corps, deux impacts de balles.
Un dans le dos et l’autre, en plein cœur. C’est forcément fatal. La police est immédiatement alertée par les populations riveraines. Des agents des forces de l’ordre se déportent sur les lieux, pour le constat d’usage. Les policiers fouillent les poches du pantalon du mort, dans l’espoir d’y trouver des documents administratifs. Documents administratifs pouvant permettre de l’identifier.
Mais les flics ne seront pas satisfaits ici. Car, point de papiers dans les poches du défunt.
Cependant, en regardant bien le corps, les policiers remarquent un tatouage sur le bras gauche de l’homme abattu. Un tatouage avec le nom de Kodjo Koly. L’on pense que c’est bien son identité.
La question à présent, est de savoir les circonstances de la mort de cet homme. A ce niveau, des témoignages avancent que la veille, soit le samedi 18 septembre, une Mercedes de couleur noire, fait discrètement son entrée à Azito. Cela, par une voie détournée. Il est un peu de 20h. Ce véhicule dont le type et l’immatriculation sont ignorés, vient ensuite dans cet endroit totalement plongé dans la pénombre, garer sous le fil de haute tension, non loin des locaux en construction, d’une église méthodiste. A bord de la Mercedes, quatre individus dont le conducteur prend immédiatement soin d’éteindre les phares. Tous mettent tout de suite après pied à terre. Ils ouvrent alors le coffre arrière de leur voiture, d’où ils retirent un individu torse nu, ne portant qu’un pantalon. Les instants qui suivent, les quatre quidams obligent leur « otage » à se tenir debout, avant de le mettre en joue. Sans plus perdre de temps, ils font claquer de terribles coups de feu. La cible, l’homme qu’ils viennent de sortir du coffre arrière de leur Mercedes, est foudroyé net.
L’infortuné s’écroule, pour ne plus jamais se relever. L’exécution sommaire terminée, les quatre hommes remontent aussitôt dans leur véhicule qui met les voiles. Comment comprendre cette affaire ? C’est justement ce pourquoi, la police a ouvert une enquête. Cela s’avère d’autant plus important, qu’il faut savoir qui sont réellement les acteurs dans cette affaire sanglante. Qui est donc en vérité le mort ? Pourquoi a-t-il été abattu dans ces circonstances ? Et qui sont enfin, ceux qui l’ont exécuté ? Les réponses à ces questions, éclaireront bien entendu.
KIKIE Ahou Nazaire
Un dans le dos et l’autre, en plein cœur. C’est forcément fatal. La police est immédiatement alertée par les populations riveraines. Des agents des forces de l’ordre se déportent sur les lieux, pour le constat d’usage. Les policiers fouillent les poches du pantalon du mort, dans l’espoir d’y trouver des documents administratifs. Documents administratifs pouvant permettre de l’identifier.
Mais les flics ne seront pas satisfaits ici. Car, point de papiers dans les poches du défunt.
Cependant, en regardant bien le corps, les policiers remarquent un tatouage sur le bras gauche de l’homme abattu. Un tatouage avec le nom de Kodjo Koly. L’on pense que c’est bien son identité.
La question à présent, est de savoir les circonstances de la mort de cet homme. A ce niveau, des témoignages avancent que la veille, soit le samedi 18 septembre, une Mercedes de couleur noire, fait discrètement son entrée à Azito. Cela, par une voie détournée. Il est un peu de 20h. Ce véhicule dont le type et l’immatriculation sont ignorés, vient ensuite dans cet endroit totalement plongé dans la pénombre, garer sous le fil de haute tension, non loin des locaux en construction, d’une église méthodiste. A bord de la Mercedes, quatre individus dont le conducteur prend immédiatement soin d’éteindre les phares. Tous mettent tout de suite après pied à terre. Ils ouvrent alors le coffre arrière de leur voiture, d’où ils retirent un individu torse nu, ne portant qu’un pantalon. Les instants qui suivent, les quatre quidams obligent leur « otage » à se tenir debout, avant de le mettre en joue. Sans plus perdre de temps, ils font claquer de terribles coups de feu. La cible, l’homme qu’ils viennent de sortir du coffre arrière de leur Mercedes, est foudroyé net.
L’infortuné s’écroule, pour ne plus jamais se relever. L’exécution sommaire terminée, les quatre hommes remontent aussitôt dans leur véhicule qui met les voiles. Comment comprendre cette affaire ? C’est justement ce pourquoi, la police a ouvert une enquête. Cela s’avère d’autant plus important, qu’il faut savoir qui sont réellement les acteurs dans cette affaire sanglante. Qui est donc en vérité le mort ? Pourquoi a-t-il été abattu dans ces circonstances ? Et qui sont enfin, ceux qui l’ont exécuté ? Les réponses à ces questions, éclaireront bien entendu.
KIKIE Ahou Nazaire