Bien qu’absente du petit écran depuis plus de deux ans, l’ex-actrice vedette du téléfilm « Ma famille » affirme qu’elle a juste fait une pause. Mieux, elle annonce son grand retour. Et, c’est pour bientôt !
On vous voit de moins en moins sur les écrans de télévision. A quoi cela est
dû ?
C’est vrai qu’on ne me voit plus sur les écrans de la télévision ivoirienne, mais je reste bien visible sur les écrans du monde.
Lesquels ?
Nous passons sur TV5 monde, sur 3A Télé Sud et sur plusieurs autres chaînes de télévisions internationales. C’est cela l’art. Nous ne devons pas forcément être visibles qu’en Côte d’Ivoire. D’ailleurs, je n’ai plus rien à prouver ici. Le groupe « Ma famille » ne passe plus sur nos chaînes depuis plus de deux ans mais lorsqu’on nous voit, c’est comme si nous étions toujours présents. Nous avons marqué les esprits. C’est le plus important. Certains comédiens passent à la télévision, chaque matin, mais ne disent absolument rien au public.
Que voulez-vous dire concrètement ?
Etre régulièrement visible à la télévision et avoir du talent sont deux choses différentes.
Vous reverra-t-on, un jour, sur les antennes de télévisions ivoiriennes ?
Nous avons fait une pause mais nous reviendrons. Retenez que les bonnes choses sont des denrées rares. Nous n’arrêtons pas de travailler toutefois. Chacun de nous fait ses propres affaires en ce moment.
Justement, que faites-vous en ce moment ?
Je suis polyvalente. Je fais des animations privées en Côte d’Ivoire comme à l’extérieur. Je suis très souvent maître de cérémonie lors des mariages et autres conférences. J’ai beaucoup de cordes à mon arc.
Sérieusement ?
J’ai un film, j’ai un album sous la main. Je ne dors pas. Prenez l’exemple de l’ancien animateur Kader N’Dao. Il vit aux Etats-Unis depuis plusieurs années. Mais, lorsqu’il est revenu pour la finale de podium, tout le monde a su qu’il est là. Le talent est toujours là. C’est la même chose pour l’artiste-chanteur Daouda le sentimental. Il est revenu en Côte d’Ivoire après plusieurs années
passées aux Etats-Unis, c’est comme s’il n’est jamais parti. L’art est une course de fond, pas de vitesse. Nous sommes aussi arrivés à un stade où les échanges culturels internationaux sont importants. Comme je l’ai dit, je n’ai plus rien à prouver en Côte d’Ivoire.
Comment est née votre passion pour l’art ?
Depuis mon enfance. A l’époque, j’allais souvent voir les films hindous et de karaté au cinéma. Je ne suis pas venue à l’art par hasard. C’est quelque chose que j’ai toujours aimé. J’avais déjà visé la communication car mon père voulait que je devienne journaliste. Je pense que l’art et la communication sont des cousins germains.
En clair, travailler dans un bureau ne vous intéresse pas…
Tout à fait ! Sept heures, huit heures au bureau… ça ne m’intéresse pas. J’ai toujours souhaité faire un métier libéral. Un métier de création. Et je suis dans mon élément.
Quels rapports avez-vous gardés avec Akissi Delta ?
Nous nous voyons tout le temps. Ce n’est pas de la publicité. Vous avez appris à me connaître à travers mes sketches. Je ne biaise pas quand je parle. Lorsque je vous dis qu’entre Delta et moi, il n’y a aucun nuage, c’est la vérité. Nous vous réservons même de belles surprises bientôt. Je préfère ne pas en dire plus.
Que craignez-vous ?
Nous sommes Africains. Il y a le physique et la métaphysique. Je veux juste dire qu’il n’est pas prudent de parler de ses projets car on ne sait jamais… Ce que je peux dire, c’est que la récréation va bientôt prendre fin.
Entretien réalisé par Guy-Florentin Yaméogo
On vous voit de moins en moins sur les écrans de télévision. A quoi cela est
dû ?
C’est vrai qu’on ne me voit plus sur les écrans de la télévision ivoirienne, mais je reste bien visible sur les écrans du monde.
Lesquels ?
Nous passons sur TV5 monde, sur 3A Télé Sud et sur plusieurs autres chaînes de télévisions internationales. C’est cela l’art. Nous ne devons pas forcément être visibles qu’en Côte d’Ivoire. D’ailleurs, je n’ai plus rien à prouver ici. Le groupe « Ma famille » ne passe plus sur nos chaînes depuis plus de deux ans mais lorsqu’on nous voit, c’est comme si nous étions toujours présents. Nous avons marqué les esprits. C’est le plus important. Certains comédiens passent à la télévision, chaque matin, mais ne disent absolument rien au public.
Que voulez-vous dire concrètement ?
Etre régulièrement visible à la télévision et avoir du talent sont deux choses différentes.
Vous reverra-t-on, un jour, sur les antennes de télévisions ivoiriennes ?
Nous avons fait une pause mais nous reviendrons. Retenez que les bonnes choses sont des denrées rares. Nous n’arrêtons pas de travailler toutefois. Chacun de nous fait ses propres affaires en ce moment.
Justement, que faites-vous en ce moment ?
Je suis polyvalente. Je fais des animations privées en Côte d’Ivoire comme à l’extérieur. Je suis très souvent maître de cérémonie lors des mariages et autres conférences. J’ai beaucoup de cordes à mon arc.
Sérieusement ?
J’ai un film, j’ai un album sous la main. Je ne dors pas. Prenez l’exemple de l’ancien animateur Kader N’Dao. Il vit aux Etats-Unis depuis plusieurs années. Mais, lorsqu’il est revenu pour la finale de podium, tout le monde a su qu’il est là. Le talent est toujours là. C’est la même chose pour l’artiste-chanteur Daouda le sentimental. Il est revenu en Côte d’Ivoire après plusieurs années
passées aux Etats-Unis, c’est comme s’il n’est jamais parti. L’art est une course de fond, pas de vitesse. Nous sommes aussi arrivés à un stade où les échanges culturels internationaux sont importants. Comme je l’ai dit, je n’ai plus rien à prouver en Côte d’Ivoire.
Comment est née votre passion pour l’art ?
Depuis mon enfance. A l’époque, j’allais souvent voir les films hindous et de karaté au cinéma. Je ne suis pas venue à l’art par hasard. C’est quelque chose que j’ai toujours aimé. J’avais déjà visé la communication car mon père voulait que je devienne journaliste. Je pense que l’art et la communication sont des cousins germains.
En clair, travailler dans un bureau ne vous intéresse pas…
Tout à fait ! Sept heures, huit heures au bureau… ça ne m’intéresse pas. J’ai toujours souhaité faire un métier libéral. Un métier de création. Et je suis dans mon élément.
Quels rapports avez-vous gardés avec Akissi Delta ?
Nous nous voyons tout le temps. Ce n’est pas de la publicité. Vous avez appris à me connaître à travers mes sketches. Je ne biaise pas quand je parle. Lorsque je vous dis qu’entre Delta et moi, il n’y a aucun nuage, c’est la vérité. Nous vous réservons même de belles surprises bientôt. Je préfère ne pas en dire plus.
Que craignez-vous ?
Nous sommes Africains. Il y a le physique et la métaphysique. Je veux juste dire qu’il n’est pas prudent de parler de ses projets car on ne sait jamais… Ce que je peux dire, c’est que la récréation va bientôt prendre fin.
Entretien réalisé par Guy-Florentin Yaméogo