Hier, la fédération internationale de football (FIFA) a rendu les conclusions de ses visites sur les sites des différents candidats à l’organisation des mondiaux de 2018 et 2022. Sepp Blatter et ses collègues ont, à cette occasion, adressé des satisfécits à certains candidats. Parmi lesquels, le comité de candidature du Qatar. Selon le comité d’éthique de la FIFA « le Qatar 2022 a complètement respecté les règles d’appels d’offres de la FIFA et les règlements ». Cette sortie a naturellement plu aux responsables du dossier de candidature du Qatar qui aspire à accueillir la première coupe du monde dans cette partie du monde. Se félicitant de cette reconnaissance de la FIFA, le directeur du Bid Qatar 2022, Hassan Al-Thawadi a déclaré dans un communiqué qu’il était convaincu de ce résultat. « Nous avons mené tout au long de la campagne en respectant les plus hautes normes éthiques. Ceci met fin aux rumeurs et ouï-dire qui ont dominé l'ordre du jour ces dernières semaines », a-t-il affirmé. Poursuivant, M. Hassan Al-Thawadi a expliqué qu’il est temps de permettre à des centaines de millions de fans de football du Moyen-Orient de vivre enfin une FIFA coupe du monde. Car, selon lui, l’impact de cette manifestation dans cette région sera indéniable sur le développement du football mondial. Convaincu qu’il est, que la coupe du monde au Qatar aidera à bâtir des ponts de confiance mutuelle et la compréhension entre notre région et la communauté internationale », a-t-il laissé entendre. Sûr de la qualité du dossier qu’il défend et du grand intérêt que les autorités de son pays ont pour ce projet, M. Hassan Al-Thawadi, entend lancer un appel à la FIFA et au monde entier avant l’attribution des coupes du monde de 2018 et 2022, le 2 décembre prochain. « Qatar 2022 est une occasion de faire l'histoire, de toucher des vies au-delà du terrain de football et de changer positivement les relations sociales et culturelles. Le football, et l'accueil du plus grand tournoi du jeu, devraient être une possibilité pour toutes les régions du monde », a conclu le patron de la candidature du Qatar 2022.
Pour le reste, les responsables du dossier de candidature de Qatar 2022 disent avoir pris bonne note des observations du rapport d’évaluation des candidatures de la FIFA. Surtout que ce rapport reconnaît les innovations qu’apporte le Qatar en matière d’hébergement. Sans oublier l’impact qu’aurait cette coupe du monde sur le plan national et surtout sous-régional et international si elle a lieu au Moyen-Orient. Tout en se réjouissant que la FIFA ait jugé la candidature du Qatar à « faible risque », Thawadi et ses camarades entendent prendre en compte les inquiétudes soulevées par le rapport d’inspection. Le refroidissement des airs de jeu, les espaces des fans et espaces extérieurs sont déjà en train d’être améliorés pour offrir le meilleur cadre possible pour l’accueil du mondial 2022. Le gouvernement qatari, plus qu’engagé dans ce sens, dépense 50 milliards de dollars pour le développement des infrastructures et surtout pour le nouvel aéroport international en 2012, le métro et les grands axes routiers. L’un mis dans l’autre, il est clair que le dossier de candidature Qatar 2022 est plus que costaud. Et le 2 décembre à Zurich, il a de bonnes chances d’être retenu et d’offrir au Moyen-Orient sa première coupe du monde depuis l’instauration de cette compétition planétaire. En tout cas, Hassan Al-Thawadi, le Qatar et tout le Moyen-Orient y croient.
Koné Lassiné
Pour le reste, les responsables du dossier de candidature de Qatar 2022 disent avoir pris bonne note des observations du rapport d’évaluation des candidatures de la FIFA. Surtout que ce rapport reconnaît les innovations qu’apporte le Qatar en matière d’hébergement. Sans oublier l’impact qu’aurait cette coupe du monde sur le plan national et surtout sous-régional et international si elle a lieu au Moyen-Orient. Tout en se réjouissant que la FIFA ait jugé la candidature du Qatar à « faible risque », Thawadi et ses camarades entendent prendre en compte les inquiétudes soulevées par le rapport d’inspection. Le refroidissement des airs de jeu, les espaces des fans et espaces extérieurs sont déjà en train d’être améliorés pour offrir le meilleur cadre possible pour l’accueil du mondial 2022. Le gouvernement qatari, plus qu’engagé dans ce sens, dépense 50 milliards de dollars pour le développement des infrastructures et surtout pour le nouvel aéroport international en 2012, le métro et les grands axes routiers. L’un mis dans l’autre, il est clair que le dossier de candidature Qatar 2022 est plus que costaud. Et le 2 décembre à Zurich, il a de bonnes chances d’être retenu et d’offrir au Moyen-Orient sa première coupe du monde depuis l’instauration de cette compétition planétaire. En tout cas, Hassan Al-Thawadi, le Qatar et tout le Moyen-Orient y croient.
Koné Lassiné