Les supporters du Stade d’Abidjan présents ont vite retenu son nom. Servet Baglar. C’est avec ce technicien de nationalité turque, que les bleu et rouge iront à l’assaut du titre 2010-2011, du championnat national de football. Il a été présenté, hier, à la salle Delafosse de l’hôtel du district au Plateau où a eu lieu la signature du contrat. L’espoir était perceptible aussi bien sur le
visage du nouveau coach, que sur ceux des dirigeants du club. Et, les premiers mots venant du technicien turc ont traduit cette volonté de rompre avec les échecs du passé. « Nous allons développer un jeu beaucoup physique avec du tempo. Je dirai un style proche de celui de Mourinho », a-t-il indiqué. Servet Baglar pense que les joueurs africains, en général, ont des talents innés. Il sera question pour lui d’affiner cela. « Les joueurs africains, dès la
naissance, ont le football dans la peau. Avec notre savoir-faire, nous allons développer tout cela. La révolution ne se fera pas seulement avec les 18-19 ans.
Nous l’étendrons jusqu’aux 25 ans. J’ai fait des recherches dans ce sens», s’est-il voulu rassurant. Quant à Akgun Yilmaz, directeur de Akgun associated, nouveau partenaire du Stade à la base de l’arrivée du coach, il est optimiste.
«Baglar est a son troisième voyage en Côte d’Ivoire et à chaque déplacement (qui dure 2 à 3 mois), il parcourt la ville pour voir les jeunes jouer», s’est-il satisfait. L’ancien entraîneur du Kayseri sport ((Turquie) a de nombreux défis à relever à court terme. Le club doit bâtir une équipe de football capable de remporter des trophées aussi bien en Côte d’Ivoire qu’en Afrique. Mais aussi,
mettre en place un groupe d’une renommée internationale, avec des infrastructures modernes. « Nous aurons une équipe compétitive avec une bonne image et des moyens pour faire face aux difficultés. Nous allons doter l’équipe d’infrastructures. Nous attendons des joueurs pas seulement de la Côte d’Ivoire, mais aussi de la sous-région», a annoncé le président du comité d’administration du club, Abi Richmond.
Sanou A.
visage du nouveau coach, que sur ceux des dirigeants du club. Et, les premiers mots venant du technicien turc ont traduit cette volonté de rompre avec les échecs du passé. « Nous allons développer un jeu beaucoup physique avec du tempo. Je dirai un style proche de celui de Mourinho », a-t-il indiqué. Servet Baglar pense que les joueurs africains, en général, ont des talents innés. Il sera question pour lui d’affiner cela. « Les joueurs africains, dès la
naissance, ont le football dans la peau. Avec notre savoir-faire, nous allons développer tout cela. La révolution ne se fera pas seulement avec les 18-19 ans.
Nous l’étendrons jusqu’aux 25 ans. J’ai fait des recherches dans ce sens», s’est-il voulu rassurant. Quant à Akgun Yilmaz, directeur de Akgun associated, nouveau partenaire du Stade à la base de l’arrivée du coach, il est optimiste.
«Baglar est a son troisième voyage en Côte d’Ivoire et à chaque déplacement (qui dure 2 à 3 mois), il parcourt la ville pour voir les jeunes jouer», s’est-il satisfait. L’ancien entraîneur du Kayseri sport ((Turquie) a de nombreux défis à relever à court terme. Le club doit bâtir une équipe de football capable de remporter des trophées aussi bien en Côte d’Ivoire qu’en Afrique. Mais aussi,
mettre en place un groupe d’une renommée internationale, avec des infrastructures modernes. « Nous aurons une équipe compétitive avec une bonne image et des moyens pour faire face aux difficultés. Nous allons doter l’équipe d’infrastructures. Nous attendons des joueurs pas seulement de la Côte d’Ivoire, mais aussi de la sous-région», a annoncé le président du comité d’administration du club, Abi Richmond.
Sanou A.