Le président du Cap-Vert, Pedro Pires, a proposé sa "médiation" pour "rechercher une solution pacifique" à la crise en Côte d`Ivoire, dans une interview diffusée par la radio-télévision portugaise (RTP) captée en Afrique de l`Ouest.
"Je suis prêt à m`impliquer dans la recherche d`une solution pacifique à la
crise qui sévit en Côte d`Ivoire", a déclaré le président Pires. "Je souhaite
que cette médiation s`inscrive dans le cadre de celle entreprise par l`Union
africaine (UA)", a-t-il précisé lors de l`entretien diffusé jeudi soir.
Le président Pires a également appelé la communauté internationale à
adopter une position plus modérée car, a-t-il dit, "les positions extrêmes
n`aideront pas à trouver une voie pacifique de sortie de crise".
Le Cap-Vert est membre,rtmf.ELUe de la Communauté économique des Etats
d`Afrique de l`Ouest (Cédéao) et de la Communauté des pays de langue
portugaise, qui ont appelé le dirigeant ivoirien sortant Laurent Gbagbo à
abandonner le pouvoir.
Un sommet des dirigeants de la Cédéao se tient vendredi au Nigeria pour
tenter de trouver une solution à la crise ivoirienne.
Le camp d`Alassane Ouattara, président reconnu par la communauté internationale, espère que la Cédéao se prononcera sur une option militaire
pour chasser du pouvoir M. Gbagbo.
Deux rivaux, le président sortant Gbagbo et Alassane Ouattara se disputent
la présidence depuis le scrutin du 28 novembre. La communauté internationale a
reconnu M. Ouattara comme seul président mais M. Gbagbo refuse de céder le
pouvoir.
Le 22 décembre, l`Angola avait également prôné une politique de "non
ingérence de la communauté internationale dans les divergences électorales en
Côte d`Ivoire", par la voix de son ministre des Affaires étrangère Jorge
Chicote.
En visite à Bissau, M. Chicote avait insisté sur l`idée que la communauté
internationale ne devait pas "prendre des positions extrêmes" pouvant "rendre
difficiles les possibilités de paix dans ce pays".
"Je suis prêt à m`impliquer dans la recherche d`une solution pacifique à la
crise qui sévit en Côte d`Ivoire", a déclaré le président Pires. "Je souhaite
que cette médiation s`inscrive dans le cadre de celle entreprise par l`Union
africaine (UA)", a-t-il précisé lors de l`entretien diffusé jeudi soir.
Le président Pires a également appelé la communauté internationale à
adopter une position plus modérée car, a-t-il dit, "les positions extrêmes
n`aideront pas à trouver une voie pacifique de sortie de crise".
Le Cap-Vert est membre,rtmf.ELUe de la Communauté économique des Etats
d`Afrique de l`Ouest (Cédéao) et de la Communauté des pays de langue
portugaise, qui ont appelé le dirigeant ivoirien sortant Laurent Gbagbo à
abandonner le pouvoir.
Un sommet des dirigeants de la Cédéao se tient vendredi au Nigeria pour
tenter de trouver une solution à la crise ivoirienne.
Le camp d`Alassane Ouattara, président reconnu par la communauté internationale, espère que la Cédéao se prononcera sur une option militaire
pour chasser du pouvoir M. Gbagbo.
Deux rivaux, le président sortant Gbagbo et Alassane Ouattara se disputent
la présidence depuis le scrutin du 28 novembre. La communauté internationale a
reconnu M. Ouattara comme seul président mais M. Gbagbo refuse de céder le
pouvoir.
Le 22 décembre, l`Angola avait également prôné une politique de "non
ingérence de la communauté internationale dans les divergences électorales en
Côte d`Ivoire", par la voix de son ministre des Affaires étrangère Jorge
Chicote.
En visite à Bissau, M. Chicote avait insisté sur l`idée que la communauté
internationale ne devait pas "prendre des positions extrêmes" pouvant "rendre
difficiles les possibilités de paix dans ce pays".