Un ensemble d’organisations de la société civile ivoirienne lance un SOS à l’endroit de la communauté internationale. Elles réclament une ingérence humanitaire en vue de mettre fin à des abus qu’elles dénoncent dans la déclaration ci-après.
Depuis l’annonce par le Conseil constitutionnel ivoirien, le 3 décembre 2010, de la victoire de Laurent Gbagbo invalidant par la même occasion les résultats provisoires annoncés par la Commission électorale indépendante (CEI) qui proclamait quant à elle la victoire d’Alassane Dramane Ouattara à l’élection du président de la République, nous Coalitions et Réseaux d’organisations de la société civile de Côte d’Ivoire ci-après désignés :
Coalition de la Société civile pour la Paix et le Développement Démocratique en Côte d’Ivoire (COSOPCI) ;
Forum de la Société Civile de l’Afrique de l’Ouest (FOSCAO) ;
Regroupement des Acteurs Ivoiriens des Droits Humains (RAIDH) ;
Réseau Ouest Africain pour l’Edification de la Paix section Côte d’Ivoire (WANEPCI).
Enregistrons des actes de violation grave des droits humains perpétrés à l’encontre des populations civiles.
Depuis l’annonce par le Conseil constitutionnel ivoirien, le 3 décembre 2010, de la victoire de Laurent Gbagbo invalidant par la même occasion les résultats provisoires annoncés par la Commission électorale indépendante (CEI) qui proclamait quant à elle la victoire d’Alassane Dramane Ouattara à l’élection du président de la République, nous Coalitions et Réseaux d’organisations de la société civile de Côte d’Ivoire ci-après désignés :
Coalition de la Société civile pour la Paix et le Développement Démocratique en Côte d’Ivoire (COSOPCI) ;
Forum de la Société Civile de l’Afrique de l’Ouest (FOSCAO) ;
Regroupement des Acteurs Ivoiriens des Droits Humains (RAIDH) ;
Réseau Ouest Africain pour l’Edification de la Paix section Côte d’Ivoire (WANEPCI).
Enregistrons des actes de violation grave des droits humains perpétrés à l’encontre des populations civiles.