En très peu de temps, le rêve est devenu un cauchemar. Les souscripteurs des maisons de
placements d’argent, au lieu de devenir millionnaires ou milliardaires, se sont appauvris par la faute de vendeurs d’illusions. Que sont devenus aujourd’hui les prédateurs
et les victimes ?
Les derniers soubresauts de l’affaire des placements d’argent sont d’ordre politique. Alors qu’il semblait jeté aux oubliettes depuis belle lurette, le dossier est remis sur la table par les acteurs politiques, notamment les responsables du RHDP à l’occasion du second tour de l’élection présidentielle de Novembre 2010. Le candidat Alassane Ouattara reçoit une association de souscripteurs au siège de cette coalition politique pour, dit-il, leur exprimer sa compassion et proposer des solutions. En réponse, une autre organisation dénonçant des visées électoralistes, organise elle aussi un autre rassemblement au palais de la culture mais sans succès. Même si elles ne changent rien à la situation des victimes, ces sorties viennent remuer le couteau dans la plaie chez certains. Pour d’autres, l’espoir peut être permis.
Par Marius Nouza
placements d’argent, au lieu de devenir millionnaires ou milliardaires, se sont appauvris par la faute de vendeurs d’illusions. Que sont devenus aujourd’hui les prédateurs
et les victimes ?
Les derniers soubresauts de l’affaire des placements d’argent sont d’ordre politique. Alors qu’il semblait jeté aux oubliettes depuis belle lurette, le dossier est remis sur la table par les acteurs politiques, notamment les responsables du RHDP à l’occasion du second tour de l’élection présidentielle de Novembre 2010. Le candidat Alassane Ouattara reçoit une association de souscripteurs au siège de cette coalition politique pour, dit-il, leur exprimer sa compassion et proposer des solutions. En réponse, une autre organisation dénonçant des visées électoralistes, organise elle aussi un autre rassemblement au palais de la culture mais sans succès. Même si elles ne changent rien à la situation des victimes, ces sorties viennent remuer le couteau dans la plaie chez certains. Pour d’autres, l’espoir peut être permis.
Par Marius Nouza