Malgré l’appel à la reprise des cours du gouvernement Gbagbo, la maorité des établissements scolaires n’ont pas fonctionnés.
La reprise annoncée par le gouvernement de Laurent Gbagbo n’a pas eu lieu à Yamoussoukro. Tous les établissements préscolaires, primaires et secondaires de la capitale politique sont restés clos. A part quelques fonctionnaires des services administratifs, aucune trace d’élèves, de professeurs ou d’éducateurs dans tous les établissements logés au Lycée scientifique : lycées mixtes 1&2, collège moderne 2 et lycée scientifique. Idem pour le lycée Mamie Adjoua, le collège moderne 1 et le collège municipal. Du groupe scolaire de Dioulabougou à Sinzibo en passant par Energie, Camp militaire et Zaher, point d’élève ni d’instituteur. Les raisons divergent d’un établissement à l’autre et d’un enseignant à l’autre selon leur sensibilité politique. « Le gouvernement du président élu Alassane Ouattara a demandé à tous les fonctionnaires de l’Etat d’arrêter toute collaboration avec le pouvoir illégitime de Laurent Gbagbo. Je ne reprends la craie que lorsque le ministre Kandia Kamara le demandera », déclare K.K Bertin, professeur de lettres dans un établissement secondaire public. Son ami, G.J. Marc, militant de Lmp aurait, lui, repris s’il avait trouvé des élèves en classe. « Nous reprenons le 6 janvier », affirme Meko Fofana, un élève d’une école secondaire privée citant son directeur. Et apparemment, tous les établissements privés comptent recevoir leurs élèves ce jour-là. « En espérant que le pays soit libéré du joug des frontistes et de l’ex-président Laurent Gbagbo », souhaite Y. J., un enseignant.
Ousmane Diallo à Yamoussoukro
La reprise annoncée par le gouvernement de Laurent Gbagbo n’a pas eu lieu à Yamoussoukro. Tous les établissements préscolaires, primaires et secondaires de la capitale politique sont restés clos. A part quelques fonctionnaires des services administratifs, aucune trace d’élèves, de professeurs ou d’éducateurs dans tous les établissements logés au Lycée scientifique : lycées mixtes 1&2, collège moderne 2 et lycée scientifique. Idem pour le lycée Mamie Adjoua, le collège moderne 1 et le collège municipal. Du groupe scolaire de Dioulabougou à Sinzibo en passant par Energie, Camp militaire et Zaher, point d’élève ni d’instituteur. Les raisons divergent d’un établissement à l’autre et d’un enseignant à l’autre selon leur sensibilité politique. « Le gouvernement du président élu Alassane Ouattara a demandé à tous les fonctionnaires de l’Etat d’arrêter toute collaboration avec le pouvoir illégitime de Laurent Gbagbo. Je ne reprends la craie que lorsque le ministre Kandia Kamara le demandera », déclare K.K Bertin, professeur de lettres dans un établissement secondaire public. Son ami, G.J. Marc, militant de Lmp aurait, lui, repris s’il avait trouvé des élèves en classe. « Nous reprenons le 6 janvier », affirme Meko Fofana, un élève d’une école secondaire privée citant son directeur. Et apparemment, tous les établissements privés comptent recevoir leurs élèves ce jour-là. « En espérant que le pays soit libéré du joug des frontistes et de l’ex-président Laurent Gbagbo », souhaite Y. J., un enseignant.
Ousmane Diallo à Yamoussoukro