Depuis quelques jours, l'information circule dans le camp Lmp. Plusieurs réunions auraient eu lieu. Selon nos sources, Laurent Gbagbo et ses hommes préparent le braquage de l'agence nationale de la Banque centrale des Etats de l'Afrique de l'Ouest (Bceao) sise à Abidjan-Plateau. Une opération qui serait menée par des éléments de la Brigade anti-émeute (Bae). En effet, le camp Lmp n'a plus d'argent. Et pourtant, les manœuvres de confiscation
du pouvoir sont onéreuses. Il faut grassement payer les mercenaires qui aident les quelques inconditionnels de l'ex-chef d'Etat à maintenir celui-ci au Palais du Plateau. Aussi, Gbagbo est-il contraint d'honorer les nombreux engagements pris auprès des soutiens locaux et étrangers (ils sont minimes). Or, depuis le 23 décembre 2010, le conseil extraordinaire des ministres de l'Uemoa a retiré toute signification sur les comptes des avoirs publics ivoiriens au profit du Président Alassane Ouattara et de ses représentants. Cette mesure a des conséquences très graves sur le clan Gbagbo et il le réalise aujourd'hui. N'ayant plus accès aux ressources financières de la Côte
d'Ivoire logées à la Bceao et la galère financière se profilant grandement à l'horizon, Gbagbo et ses alliés n'auraient trouvé mieux que de braquer l'agence nationale de cette banque. Et, il y a environ une dizaine de jours que l'opération se préparerait. C'est pour brouiller les pistes de leur "crime économique", qu'il (le camp Lmp) fait écrire que "Ouattara veut braquer la Bceao à Abidjan". Comment croire que celui qui a la pleine signature sur les comptes ivoiriens à la Bceao veuille braquer cette institution ? La diversion ne passera pas. Car, l'on sait qui a la signature sur les avoirs publics ivoiriens. La supercherie est tout simplement découverte.
M. Opong
du pouvoir sont onéreuses. Il faut grassement payer les mercenaires qui aident les quelques inconditionnels de l'ex-chef d'Etat à maintenir celui-ci au Palais du Plateau. Aussi, Gbagbo est-il contraint d'honorer les nombreux engagements pris auprès des soutiens locaux et étrangers (ils sont minimes). Or, depuis le 23 décembre 2010, le conseil extraordinaire des ministres de l'Uemoa a retiré toute signification sur les comptes des avoirs publics ivoiriens au profit du Président Alassane Ouattara et de ses représentants. Cette mesure a des conséquences très graves sur le clan Gbagbo et il le réalise aujourd'hui. N'ayant plus accès aux ressources financières de la Côte
d'Ivoire logées à la Bceao et la galère financière se profilant grandement à l'horizon, Gbagbo et ses alliés n'auraient trouvé mieux que de braquer l'agence nationale de cette banque. Et, il y a environ une dizaine de jours que l'opération se préparerait. C'est pour brouiller les pistes de leur "crime économique", qu'il (le camp Lmp) fait écrire que "Ouattara veut braquer la Bceao à Abidjan". Comment croire que celui qui a la pleine signature sur les comptes ivoiriens à la Bceao veuille braquer cette institution ? La diversion ne passera pas. Car, l'on sait qui a la signature sur les avoirs publics ivoiriens. La supercherie est tout simplement découverte.
M. Opong