Quand le “Messie” devient boucher : 1000 morts à droite, 1000 morts à gauche !
Je ne saurai être le spectateur complaisant de ta boucherie, Laurent ;
Je dénonce ici ton machiavélisme et ta boulimie pour le sang ;
Toi que certains zélateurs ont comparé pompeusement à Moïse, te voilà devenu un boucher;
Quel pacte as-tu conclu avec les charognards et vautours ?
''Mille morts à droite, mille morts à gauche, moi Laurent Gbagbo, j'avance'' ; telle est ta devise macabre.
Dans les années 1990, des journalistes algériens, vivant et travaillant dans la peur, et voyant chaque jour leurs confrères égorgés par les extrémistes, disaient :
''Si tu parles, on te tue.
Si tu te tais, on te tue.
Alors parle et meurs.''
Tel est mon credo, Laurent.
Si Senghor, le grand poète pouvait revenir, il te dirait ceci : ''toi, le grand pourvoyeur des vautours et des hyènes, le poète du vallon-de-la-mort.''
Il te dirait encore :
''On cherchait un guide, tu ne fus qu'un boucher ;''
Ton règne est torrent de sang, Laurent.
Ta personne, ton soupir source de sang.
Sang, sang, sang…..
Laurang, rang, quelle belle combinaison!
Mille cadavres à droite, mille cadavres à gauche, moi Laurent Gbagbo, j'avance : telle est ta devise sépulcrale.
Ton nom est synonyme de dictature, de terreur, de deuil, de répression sauvage et aveugle...
L'évocation de ton nom fait trembler les foyers, les hameaux, les nourrissons, les animaux, les arbres !
Laurent le barbare, Laurent le bombardier, Laurent la terreur, Laurent le tortionnaire
Laurent l'assassin de la démocratie, le mégalomane, le vampire, le cannibale, le boucher…
Mille égorgés à droite, mille éventrés à gauche, moi Laurent Gbagbo, j'avance : tel est ton credo funeste !
Tes sbires, tes Interahamwe, tes snipers, tes mercenaires écument les quartiers, les contrées afin de répandre le sang.
Mon cœur saigne devant tant d'horreurs, tant de cruautés, Laurent!
Comptes-tu surclasser Amin Dada ou Milosevic, tes maîtres ?
Tes nuits ne sont-elles pas suffisamment hantées par les hurlements de tes nombreuses victimes ?
N'hallucines-tu pas devant leurs cris assourdissants?
Mille pendus à droite, mille crucifiés à gauche, moi Laurent Gbagbo, j'avance : tel est ton slogan sanglant !
J'imagine ta fin, Laurent : tu périras comme Mobutu, Siad Barre ou Idi Amin Dada en exil, ou comme ton idole Milosevic dans une cellule climatisée de la justice internationale ou comme Savimbi dans le marquis.
Sur ton épitaphe, on griffonnera :
Mille morts à droite, mille morts à gauche, et il a toujours avancé !
Mangoua Yao, juriste, apprenti-poète,
mangouay@yahoo.fr
Je ne saurai être le spectateur complaisant de ta boucherie, Laurent ;
Je dénonce ici ton machiavélisme et ta boulimie pour le sang ;
Toi que certains zélateurs ont comparé pompeusement à Moïse, te voilà devenu un boucher;
Quel pacte as-tu conclu avec les charognards et vautours ?
''Mille morts à droite, mille morts à gauche, moi Laurent Gbagbo, j'avance'' ; telle est ta devise macabre.
Dans les années 1990, des journalistes algériens, vivant et travaillant dans la peur, et voyant chaque jour leurs confrères égorgés par les extrémistes, disaient :
''Si tu parles, on te tue.
Si tu te tais, on te tue.
Alors parle et meurs.''
Tel est mon credo, Laurent.
Si Senghor, le grand poète pouvait revenir, il te dirait ceci : ''toi, le grand pourvoyeur des vautours et des hyènes, le poète du vallon-de-la-mort.''
Il te dirait encore :
''On cherchait un guide, tu ne fus qu'un boucher ;''
Ton règne est torrent de sang, Laurent.
Ta personne, ton soupir source de sang.
Sang, sang, sang…..
Laurang, rang, quelle belle combinaison!
Mille cadavres à droite, mille cadavres à gauche, moi Laurent Gbagbo, j'avance : telle est ta devise sépulcrale.
Ton nom est synonyme de dictature, de terreur, de deuil, de répression sauvage et aveugle...
L'évocation de ton nom fait trembler les foyers, les hameaux, les nourrissons, les animaux, les arbres !
Laurent le barbare, Laurent le bombardier, Laurent la terreur, Laurent le tortionnaire
Laurent l'assassin de la démocratie, le mégalomane, le vampire, le cannibale, le boucher…
Mille égorgés à droite, mille éventrés à gauche, moi Laurent Gbagbo, j'avance : tel est ton credo funeste !
Tes sbires, tes Interahamwe, tes snipers, tes mercenaires écument les quartiers, les contrées afin de répandre le sang.
Mon cœur saigne devant tant d'horreurs, tant de cruautés, Laurent!
Comptes-tu surclasser Amin Dada ou Milosevic, tes maîtres ?
Tes nuits ne sont-elles pas suffisamment hantées par les hurlements de tes nombreuses victimes ?
N'hallucines-tu pas devant leurs cris assourdissants?
Mille pendus à droite, mille crucifiés à gauche, moi Laurent Gbagbo, j'avance : tel est ton slogan sanglant !
J'imagine ta fin, Laurent : tu périras comme Mobutu, Siad Barre ou Idi Amin Dada en exil, ou comme ton idole Milosevic dans une cellule climatisée de la justice internationale ou comme Savimbi dans le marquis.
Sur ton épitaphe, on griffonnera :
Mille morts à droite, mille morts à gauche, et il a toujours avancé !
Mangoua Yao, juriste, apprenti-poète,
mangouay@yahoo.fr