Le gouvernement ivoirien de Laurent Gbagbo a de nouveau réclamé samedi le départ de la force de l`ONU dans le pays, l`Onuci, que les Nations unies souhaitent renforcer alors que la tension monte avec le camp du président sortant.
"Le gouvernement voudrait rappeler qu`il a demandé le retrait de l`Onuci en raison de sa partialité notoire dans la gestion de la crise postélectorale et de la non application des mesures relatives au désarmement des rebelles", selon un communiqué lu par le porte-parole Ahoua Don Mello sur la télévision publique RTI.
"Toute action visant à perpétuer cette présence n`a plus d`objet véritable pour la Côte d`Ivoire", a-t-il averti.
L`ONU recherche actuellement 1.000 à 2.000 Casques bleus supplémentaires en Côte d`Ivoire. L`Onuci compte déjà quelque 9.500 éléments.
"La Côte d`Ivoire demeure ouverte à une franche collaboration avec les Nations unies qui servirait" la "paix", a cependant assuré M. Don Mello.
Le gouvernement Gbagbo, a-t-il répété, "entend trouver une solution pacifique et négociée à la crise" née de la présidentielle du 28 novembre, à l`issue de laquelle M. Gbagbo s`oppose à l`autre président proclamé Alassane Ouattara, reconnu par la communauté internationale.
L`Onuci avait accusé jeudi "les forces civiles et militaires du camp du président Gbagbo" d`avoir incendié ou endommagé cinq de ses véhicules à Abidjan, dernier en date d`une série d`incidents. Le gouvernement Gbagbo avait rejeté ces accusations.
"Le gouvernement voudrait rappeler qu`il a demandé le retrait de l`Onuci en raison de sa partialité notoire dans la gestion de la crise postélectorale et de la non application des mesures relatives au désarmement des rebelles", selon un communiqué lu par le porte-parole Ahoua Don Mello sur la télévision publique RTI.
"Toute action visant à perpétuer cette présence n`a plus d`objet véritable pour la Côte d`Ivoire", a-t-il averti.
L`ONU recherche actuellement 1.000 à 2.000 Casques bleus supplémentaires en Côte d`Ivoire. L`Onuci compte déjà quelque 9.500 éléments.
"La Côte d`Ivoire demeure ouverte à une franche collaboration avec les Nations unies qui servirait" la "paix", a cependant assuré M. Don Mello.
Le gouvernement Gbagbo, a-t-il répété, "entend trouver une solution pacifique et négociée à la crise" née de la présidentielle du 28 novembre, à l`issue de laquelle M. Gbagbo s`oppose à l`autre président proclamé Alassane Ouattara, reconnu par la communauté internationale.
L`Onuci avait accusé jeudi "les forces civiles et militaires du camp du président Gbagbo" d`avoir incendié ou endommagé cinq de ses véhicules à Abidjan, dernier en date d`une série d`incidents. Le gouvernement Gbagbo avait rejeté ces accusations.