Face à de nouvelles violences et à l'impasse politique en Côte d'Ivoire, le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, a affirmé vendredi que « les Nations Unies ne se laisseraient pas intimider » ni « dissuader » de mener à bien leur mission en Côte d'Ivoire.
« Nous continuons à patrouiller et à protéger les civils. Nous continuons à protéger le gouvernement de Ouattara. Nous continuons à enquêter sur les violations des droits de l'homme », a déclaré vendredi Ban Ki-moon lors d'une conférence de presse au siège de l'ONU à New York.
« La Côte d'Ivoire a un président légitimement élu, Alassane Ouattara. Le président sortant Laurent Gbagbo doit se retirer. Je suis profondément préoccupé par la détérioration de la situation politique et sécuritaire, spécialement par le nombre d'incidents violents qui ciblent des civils et la mission des Nations Unies », a-t-il ajouté.
Il a souligné que les Nations Unies avaient des informations crédibles sur des violations graves des droits de l'homme. « Nous avons des renseignements concrets indiquant que l'ancien Président et ceux qui l'entourent incitent leurs partisans à la violence, à la fois contre l'ONU et leurs concitoyens », a-t-il dit.
Le chef de l'ONU a rappelé que toutes « attaques contre des civils ou des Casques bleus constituent des crimes de droit international » et que « la Cour pénale internationale a annoncé son intention d'ouvrir des enquêtes ».
« Dans ma présentation à l'Assemblée générale ce matin, j'ai demandé aux Etats membres de nous soutenir pleinement dans l'exécution robuste de notre mandat », a-t-il conclu.
« Nous continuons à patrouiller et à protéger les civils. Nous continuons à protéger le gouvernement de Ouattara. Nous continuons à enquêter sur les violations des droits de l'homme », a déclaré vendredi Ban Ki-moon lors d'une conférence de presse au siège de l'ONU à New York.
« La Côte d'Ivoire a un président légitimement élu, Alassane Ouattara. Le président sortant Laurent Gbagbo doit se retirer. Je suis profondément préoccupé par la détérioration de la situation politique et sécuritaire, spécialement par le nombre d'incidents violents qui ciblent des civils et la mission des Nations Unies », a-t-il ajouté.
Il a souligné que les Nations Unies avaient des informations crédibles sur des violations graves des droits de l'homme. « Nous avons des renseignements concrets indiquant que l'ancien Président et ceux qui l'entourent incitent leurs partisans à la violence, à la fois contre l'ONU et leurs concitoyens », a-t-il dit.
Le chef de l'ONU a rappelé que toutes « attaques contre des civils ou des Casques bleus constituent des crimes de droit international » et que « la Cour pénale internationale a annoncé son intention d'ouvrir des enquêtes ».
« Dans ma présentation à l'Assemblée générale ce matin, j'ai demandé aux Etats membres de nous soutenir pleinement dans l'exécution robuste de notre mandat », a-t-il conclu.