Et si les réseaux sociaux nous rendaient malades ? Des scientifiques italiens viennent d’émettre l’hypothèse selon laquelle Facebook® pourrait être à l’origine… de crises d’asthme. Un résultat surprenant, qu’il convient toutefois de prendre avec des pincettes. L’étude italienne n’a en effet porté que sur… un seul malade, éconduit par sa petite amie.
Agé de 18 ans, le jeune homme était de ce fait, déprimé. Quoi de plus naturel ? Après lui avoir « brisé le cœur » la donzelle l’avait même exclu de sa liste « d’amis » sur Facebook®… Horreur ! Mais le garçon, toujours amoureux (et un brin désespéré), s’est créé une fausse identité pour réintégrer le profil de son ex et ainsi, rester en contact. Pourtant, la simple vue de la jeune femme à chaque visite sur le site communautaire, a provoqué chez lui un essoufflement inhabituel.
Inquiète, sa « mamma » a pris sur elle de faire appel au corps médical ! Il a donc été recommandé au jeune homme de porter un masque permettant de mesurer son débit respiratoire dès qu'il se rendait sur Facebook.
Résultat : ce dernier diminuait de 20% à chaque connexion. Les médecins en ont conclu que le malheureux jeune homme souffrait de crises d’asthme. Ces dernières ont d’ailleurs totalement disparu dès qu’il eût pris la (sage) décision de ne plus surfer sur Facebook®. Ou plus exactement, dès qu’il ne voyait plus son ex. Loin des yeux…
Le Dr Gennaro D'Amato de Naples, n’en démord pas. « Les réseaux sociaux en général, peuvent constituer une source nouvelle de stress psychologique, et aggraver l'état de certains asthmatiques déprimés. »
www.destinationsante.com
Agé de 18 ans, le jeune homme était de ce fait, déprimé. Quoi de plus naturel ? Après lui avoir « brisé le cœur » la donzelle l’avait même exclu de sa liste « d’amis » sur Facebook®… Horreur ! Mais le garçon, toujours amoureux (et un brin désespéré), s’est créé une fausse identité pour réintégrer le profil de son ex et ainsi, rester en contact. Pourtant, la simple vue de la jeune femme à chaque visite sur le site communautaire, a provoqué chez lui un essoufflement inhabituel.
Inquiète, sa « mamma » a pris sur elle de faire appel au corps médical ! Il a donc été recommandé au jeune homme de porter un masque permettant de mesurer son débit respiratoire dès qu'il se rendait sur Facebook.
Résultat : ce dernier diminuait de 20% à chaque connexion. Les médecins en ont conclu que le malheureux jeune homme souffrait de crises d’asthme. Ces dernières ont d’ailleurs totalement disparu dès qu’il eût pris la (sage) décision de ne plus surfer sur Facebook®. Ou plus exactement, dès qu’il ne voyait plus son ex. Loin des yeux…
Le Dr Gennaro D'Amato de Naples, n’en démord pas. « Les réseaux sociaux en général, peuvent constituer une source nouvelle de stress psychologique, et aggraver l'état de certains asthmatiques déprimés. »
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