C'est méchant ! Laurent Gbagbo n'a pas de cœur. Il a decidé délibérément d'interrompre
la fournuture d'électricité dans les zones Centre Nord et l'Ouest (CNO) de la Côte d'Ivoire
dans la nuit du Mercredi dernier. Toutes les régions des zones CNO étaient dans le noir. A
Korhogo par exemple les populations vivent dans une psychose totale. Elles se souviennent
encore des événements de 2004 marquée par ''l'opération Dignité''. L'échec de cette opération
a eu pour conséquence les coupures intempestives d'électricité et d'eau. En tout cas les
populations ont la peur au ventre. Dans la nuit du Mercredi dernier, certains parents étaient
sur le point de faire évacuer leurs malades de l'hôpital à leur domicile. Le calvaire des
populations de Korhogo s'intensifie davantage avec les coupures d'eau. « Nous n'avons pas
également d'eau depuis hier. Et nous ne savons pas quand nous sortirons de cette situation »,
s'est indignée Mme Elizabeth Kouadio, habitante de Korhogo. Elle a relevé que les robinets
sont à sec et qu'avec cette période d'harmattan, il n'y pas d'eau dans les puits. Au niveau de
l'hôpital Régional de Korhogo (CHR) il n'y a pas eu de dégâts considérables. Le personnel de
santé a pu administrer des soins grâce au groupe électrogène de l'hôpital. Si à Korhogo il n'y
a pas de dégâts, ce n'est pas le cas dans les autres établissements sanitaires des zones CNO.
Selon nos sources des malades sont des états critiques au CHU de Bouaké, dans les hôpitaux
de Séguéla et Mankono. Le moins qu'on puisse écrire c'est que les populations des zones
Centre, Nord et l'Ouest vivent dans une psychose généralisée.
Anzoumana Cissé (Info Mark Dakota correspondant à Korhogo )
la fournuture d'électricité dans les zones Centre Nord et l'Ouest (CNO) de la Côte d'Ivoire
dans la nuit du Mercredi dernier. Toutes les régions des zones CNO étaient dans le noir. A
Korhogo par exemple les populations vivent dans une psychose totale. Elles se souviennent
encore des événements de 2004 marquée par ''l'opération Dignité''. L'échec de cette opération
a eu pour conséquence les coupures intempestives d'électricité et d'eau. En tout cas les
populations ont la peur au ventre. Dans la nuit du Mercredi dernier, certains parents étaient
sur le point de faire évacuer leurs malades de l'hôpital à leur domicile. Le calvaire des
populations de Korhogo s'intensifie davantage avec les coupures d'eau. « Nous n'avons pas
également d'eau depuis hier. Et nous ne savons pas quand nous sortirons de cette situation »,
s'est indignée Mme Elizabeth Kouadio, habitante de Korhogo. Elle a relevé que les robinets
sont à sec et qu'avec cette période d'harmattan, il n'y pas d'eau dans les puits. Au niveau de
l'hôpital Régional de Korhogo (CHR) il n'y a pas eu de dégâts considérables. Le personnel de
santé a pu administrer des soins grâce au groupe électrogène de l'hôpital. Si à Korhogo il n'y
a pas de dégâts, ce n'est pas le cas dans les autres établissements sanitaires des zones CNO.
Selon nos sources des malades sont des états critiques au CHU de Bouaké, dans les hôpitaux
de Séguéla et Mankono. Le moins qu'on puisse écrire c'est que les populations des zones
Centre, Nord et l'Ouest vivent dans une psychose généralisée.
Anzoumana Cissé (Info Mark Dakota correspondant à Korhogo )