La coupure d'électricité qu'à connue la ville de Bouaké, à l'instar certainement d'autres
localités des zones CNO, a été difficile pour les populations et pénible pour le Centre
hospitalier universitaire (CHR). Cette interruption brusque de l'électricité qui n'a fait
l'objet d'aucune annonce préalable a prolongé le malaise de beaucoup de malades du CHU.
Plusieurs d'entre eux n'ont pu se faire opérer du fait du manque d'électricité. « Nous avions
des personnes programmées pour être opérées, malheureusement cela n'a pu être possible
pour faute de courant. Même si pendant ces heures difficiles, il n'y a pas eu de décès à
cause de cette coupure, mais nous craignons, si cela reprend, que nous soyons en face
d'une catastrophe humanitaire », a déclaré M. Kouyaté Karim, directeur départemental de
la santé, qui a en plus souligné que le risque était plus élevé chez les nouveau-nés qui sont
en observation dans des couveuses. Par ailleurs le nombre d'accidentés reçus en urgences
s'est avéré plus élevés cette nuit de coupure que les jours ordinaires, à tenu à préciser une
infirmière qui a requis l'anonymat. Rappelons qu'il était un peu plus de 19h ce mercredi 26
janvier, lorsque les lampadaires et les ampoules des habitations se sont éteints. Plongeant
du coup les rues et les domiciles de tous les quartiers dans une obscurité totale, alourdie
d'avantage par un ciel épais de nuage qui, quelques minutes après va libérer une pluie intense
sur une grande partie de la ville. Et ce n'est qu'autour de minuit que l'électricité est revenue
après cinq heures d'interruption qui ont suscité angoisse et peur au sein des populations,
lesquelles continuent de s'interroger sur l'origine de cette coupure.
MAIGA Idrissa à Bouaké
localités des zones CNO, a été difficile pour les populations et pénible pour le Centre
hospitalier universitaire (CHR). Cette interruption brusque de l'électricité qui n'a fait
l'objet d'aucune annonce préalable a prolongé le malaise de beaucoup de malades du CHU.
Plusieurs d'entre eux n'ont pu se faire opérer du fait du manque d'électricité. « Nous avions
des personnes programmées pour être opérées, malheureusement cela n'a pu être possible
pour faute de courant. Même si pendant ces heures difficiles, il n'y a pas eu de décès à
cause de cette coupure, mais nous craignons, si cela reprend, que nous soyons en face
d'une catastrophe humanitaire », a déclaré M. Kouyaté Karim, directeur départemental de
la santé, qui a en plus souligné que le risque était plus élevé chez les nouveau-nés qui sont
en observation dans des couveuses. Par ailleurs le nombre d'accidentés reçus en urgences
s'est avéré plus élevés cette nuit de coupure que les jours ordinaires, à tenu à préciser une
infirmière qui a requis l'anonymat. Rappelons qu'il était un peu plus de 19h ce mercredi 26
janvier, lorsque les lampadaires et les ampoules des habitations se sont éteints. Plongeant
du coup les rues et les domiciles de tous les quartiers dans une obscurité totale, alourdie
d'avantage par un ciel épais de nuage qui, quelques minutes après va libérer une pluie intense
sur une grande partie de la ville. Et ce n'est qu'autour de minuit que l'électricité est revenue
après cinq heures d'interruption qui ont suscité angoisse et peur au sein des populations,
lesquelles continuent de s'interroger sur l'origine de cette coupure.
MAIGA Idrissa à Bouaké