Un grand meeting a rassemblé, hier, à Bouaké, les forces vives de la ville de Bouaké. Ce meeting visait à appeler à une résolution rapide de la crise post-électorale.
«Vous serez récompensés dans un temps assez bref puisque votre combat est pris en compte par la communauté internationale », a soutenu, hier, le préfet de Bouaké, Konin Aka, à l’endroit de ses administrés. C’était à l’occasion d’un grand meeting de soutien au panel des 5 chefs d’Etat de l’Union africaine, au corps préfectoral des zones centre, nord et ouest (Cno) et aux journalistes de la télévision Notre patrie (Tvnp) détenus à Abidjan et au président Alassane Ouattara. A l’initiative du Rassemblement des houphouétistes pour la démocratie et la paix (Rhdp). « Nous, nous sommes sereins et nous avons la conscience tranquille, la conscience de quelqu’un qui a fait et bien fait son travail, le reste c’est l’affaire de nos chefs », a redit le maire de Bouaké. Avant le préfet de la région de la Vallée du Bandama, une motion de soutien au panel des chefs d’Etat a été lue par Koffi Jean-Baptiste du Pdci. « Nous soutenons ce panel dans toute sa composante ; condamnons les velléités de contestation et de récusation de certains de ses membres par le camp de Laurent Gbagbo et souhaitons que cette médiation soit la dernière eu égard aux souffrances des populations », ont déclaré les populations de Bouaké par la voix de Koffi Jean-Baptiste. Bamba Hamadou, président local du Rassemblement des jeunes pour la démocratie et la paix (Rjdp), est intervenu pour fustiger l’incarcération des deux journalistes de la télévision Notre Patrie, Abou Sanogo et Krangbé Lopez Charles à Abidjan. Il a condamné le traitement inhumain qui leur est infligé et exigé leur libération immédiate et sans condition.
Denis Koné à Bouaké
«Vous serez récompensés dans un temps assez bref puisque votre combat est pris en compte par la communauté internationale », a soutenu, hier, le préfet de Bouaké, Konin Aka, à l’endroit de ses administrés. C’était à l’occasion d’un grand meeting de soutien au panel des 5 chefs d’Etat de l’Union africaine, au corps préfectoral des zones centre, nord et ouest (Cno) et aux journalistes de la télévision Notre patrie (Tvnp) détenus à Abidjan et au président Alassane Ouattara. A l’initiative du Rassemblement des houphouétistes pour la démocratie et la paix (Rhdp). « Nous, nous sommes sereins et nous avons la conscience tranquille, la conscience de quelqu’un qui a fait et bien fait son travail, le reste c’est l’affaire de nos chefs », a redit le maire de Bouaké. Avant le préfet de la région de la Vallée du Bandama, une motion de soutien au panel des chefs d’Etat a été lue par Koffi Jean-Baptiste du Pdci. « Nous soutenons ce panel dans toute sa composante ; condamnons les velléités de contestation et de récusation de certains de ses membres par le camp de Laurent Gbagbo et souhaitons que cette médiation soit la dernière eu égard aux souffrances des populations », ont déclaré les populations de Bouaké par la voix de Koffi Jean-Baptiste. Bamba Hamadou, président local du Rassemblement des jeunes pour la démocratie et la paix (Rjdp), est intervenu pour fustiger l’incarcération des deux journalistes de la télévision Notre Patrie, Abou Sanogo et Krangbé Lopez Charles à Abidjan. Il a condamné le traitement inhumain qui leur est infligé et exigé leur libération immédiate et sans condition.
Denis Koné à Bouaké