Le mercredi 9 février 2011, des populations du quartier « Selmer », dans la commune de Yopougon, ont fait une macabre découverte. Des corps sans vie jonchaient des rues.
Précisément, dans les environs de la mairie. Mais comment expliquer cela ? Selon des badauds trouvés sur place, il n'y a pas lieu de s'apitoyer sur le sort de ces morts. Vu, selon eux, que ces individus battus à mort sont des criminels ayant semé la désolation au sein des populations. Leur témoignage. Une fois la nuit tombée, malheur à celui qui se retrouve sur leur chemin. Il est agressé, avant d'être détroussé de ses biens. Mais dans la nuit du mardi 7 à mercredi 8 février, les choses ne se passent pas comme ces quidams l’auraient souhaité. C’est qu’aux environs de 3h du matin, ils tombent cette fois sur une victime coriace. Celle-ci appelle à l’aide. Des appels de détresse parfaitement perçus. Et en un rien de temps, de bonnes volontés accourent.
Les scélérats au nombre de quatre, sont chopés. Et la correction qui leur est infligée est à la mesure du mal qu’ils ont tant fait. Ainsi, gourdins, morceaux de brique, pierres et autres, s’abattent sur eux. Surtout les machettes qu’ils utilisaient pour agresser. Véritable horreur. Les graves blessures qui leur sont faites, leur sont fatales. Le souffle de vie lâche deux d’entre eux, à une vingtaine de mètres des locaux de la mairie. Un autre expire à hauteur de la station-service, située en face de l’institut « William-Ponty ». Le dernier rend l'âme à l’arrêt des bus érigé dans le secteur dit « 2 poteaux ». Mais d’autres explications viendront plutôt faire passer trois des morts pour d’honnêtes citoyens. Deux d’entre ces derniers répondraient aux sobriquets de « Lasso » et « Rougeau ». En tout état de cause, la police qui a procédé au constat d’usage, avant l’enlèvement des macchabées, saura faire la lumière.
Madeleine TANOU
Précisément, dans les environs de la mairie. Mais comment expliquer cela ? Selon des badauds trouvés sur place, il n'y a pas lieu de s'apitoyer sur le sort de ces morts. Vu, selon eux, que ces individus battus à mort sont des criminels ayant semé la désolation au sein des populations. Leur témoignage. Une fois la nuit tombée, malheur à celui qui se retrouve sur leur chemin. Il est agressé, avant d'être détroussé de ses biens. Mais dans la nuit du mardi 7 à mercredi 8 février, les choses ne se passent pas comme ces quidams l’auraient souhaité. C’est qu’aux environs de 3h du matin, ils tombent cette fois sur une victime coriace. Celle-ci appelle à l’aide. Des appels de détresse parfaitement perçus. Et en un rien de temps, de bonnes volontés accourent.
Les scélérats au nombre de quatre, sont chopés. Et la correction qui leur est infligée est à la mesure du mal qu’ils ont tant fait. Ainsi, gourdins, morceaux de brique, pierres et autres, s’abattent sur eux. Surtout les machettes qu’ils utilisaient pour agresser. Véritable horreur. Les graves blessures qui leur sont faites, leur sont fatales. Le souffle de vie lâche deux d’entre eux, à une vingtaine de mètres des locaux de la mairie. Un autre expire à hauteur de la station-service, située en face de l’institut « William-Ponty ». Le dernier rend l'âme à l’arrêt des bus érigé dans le secteur dit « 2 poteaux ». Mais d’autres explications viendront plutôt faire passer trois des morts pour d’honnêtes citoyens. Deux d’entre ces derniers répondraient aux sobriquets de « Lasso » et « Rougeau ». En tout état de cause, la police qui a procédé au constat d’usage, avant l’enlèvement des macchabées, saura faire la lumière.
Madeleine TANOU