William Fitzgerald, le Sous-secrétaire d'État adjoint au sein du Bureau des affaires africaines américain a admis mercredi, lors d’une conférence de presse téléphonique la « vérification des Pv (Procès-Verbaux) » du scrutin présidentielle de novembre 2010 par le panel des chefs d'État africains.
Rejetant toute idée de « recomptage des voix en Côte d’Ivoire », le responsable américain a toutefois estimé que « chaque pays doit avoir des mécanismes propres de gestion pour donner des gages d’élections transparentes et justes ».
Autre point fort de cette rencontre « téléphonique », la poursuite des « auteurs d’exactions ». Selon le haut responsable américain, « les auteurs de ces actions seront identifiés et jugés ». Monsieur Fitzgerald a affiché la détermination de son pays à s’impliquer dans ce sens.
Plusieurs crimes ont été commis pendant et après le scrutin du 28 novembre qui a vu la réélection du président Laurent Gbagbo, dans les zones Centre-Nord-Ouest, où sévit la rébellion pro-Ouattara des Forces nouvelles. Plusieurs partisans du président Laurent Gbagbo ont subi des exactions qui ont causé la mort de certains d’entre eux. Des éléments des Forces de défense et de sécurité ont été assassinés par des hommes en armes lors d’une patrouille à Abobo, un quartier pro-Ouattara. La marche insurrectionnelle lancée par le Rhdp (Rassemblement des houphouétistes pour la démocratie et la paix), proche de Ouattara le 16 décembre a vu la mort de policiers dont l’un calciné par les manifestants.Les États-Unis ont entériné la certification anticipée du diplomate sud-coréen Young Ji Choï, patron de l’Onuci (Opération des Nations unies en Côte d’Ivoire), des chiffres annoncés par Youssouf Bakayoko, Président de la Cei (Commission électorale indépendante) alors que ceux-ci faisaient l’objet de « requêtes en annulation pour fraude » auprès du Conseil constitutionnel, plus haute juridiction du pays chargée de donner les résultats définitifs.
DirectScoop
Rejetant toute idée de « recomptage des voix en Côte d’Ivoire », le responsable américain a toutefois estimé que « chaque pays doit avoir des mécanismes propres de gestion pour donner des gages d’élections transparentes et justes ».
Autre point fort de cette rencontre « téléphonique », la poursuite des « auteurs d’exactions ». Selon le haut responsable américain, « les auteurs de ces actions seront identifiés et jugés ». Monsieur Fitzgerald a affiché la détermination de son pays à s’impliquer dans ce sens.
Plusieurs crimes ont été commis pendant et après le scrutin du 28 novembre qui a vu la réélection du président Laurent Gbagbo, dans les zones Centre-Nord-Ouest, où sévit la rébellion pro-Ouattara des Forces nouvelles. Plusieurs partisans du président Laurent Gbagbo ont subi des exactions qui ont causé la mort de certains d’entre eux. Des éléments des Forces de défense et de sécurité ont été assassinés par des hommes en armes lors d’une patrouille à Abobo, un quartier pro-Ouattara. La marche insurrectionnelle lancée par le Rhdp (Rassemblement des houphouétistes pour la démocratie et la paix), proche de Ouattara le 16 décembre a vu la mort de policiers dont l’un calciné par les manifestants.Les États-Unis ont entériné la certification anticipée du diplomate sud-coréen Young Ji Choï, patron de l’Onuci (Opération des Nations unies en Côte d’Ivoire), des chiffres annoncés par Youssouf Bakayoko, Président de la Cei (Commission électorale indépendante) alors que ceux-ci faisaient l’objet de « requêtes en annulation pour fraude » auprès du Conseil constitutionnel, plus haute juridiction du pays chargée de donner les résultats définitifs.
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