Jadis fleuron de l'industrie agro alimentaire de la Côte d'Ivoire, Coco Service jette la clé sous paillasson à la fin de ce mois de février suite à la situation qui prévaut dans cette entreprise depuis l'avènement du CGFCC nomme par Laurent Gbagbo.
Dès la création de ce comité, il s'est agi pour son président de mettre en faillite l'une des dix plus vieilles entreprises du pays (sa création date de 1954) pour s'accaparer le terrain aux fins d'opérations immobilières dont il serait l'initiateur. Pour ce faire, un DG est nommé en remplacement d'un ancien cadre de la maison qui assurait l'intérim suite aux arrestations intervenues dans la filière. Ce DG, avec la bénédiction d'ANO GILBERT, va s'atteler à pousser vers la porte de sortie tous ceux qui pouvaient contrecarrer le projet. Ensuite, par des décisions de gestion dont la refondation est le prototype, ce DG a conduit l'entreprise en quasi cessation de paiement. A ce jour, la direction a décidé de licencier 12 employés pour motif économique. Mais sur la base de critères subjectifs et en foulant aux pieds les procédures en matière de droit du travail. La refondation va une fois de plus faire disparaître un ex-fleuron de l'agro alimentaire en Côte d'Ivoire du fait du copinage, de la mauvaise gouvernance, et des détournements. L'entreprise a bénéficié de plusieurs subventions du CGFCC. Pourtant, elle est tributaire de 750 millions de F CFA aux différents fournisseurs. Comment en est-on arrive là? Les biens de l'entreprise sont actuellement vendus aux dirigeants actuels à de prix dérisoires, la surfacturation des achats continue comme si de rien n'était et cela au détriment des 200 employés qui vivent directement de leur salaire dans l'entreprise. Sans compter les fournisseurs et autres clients qui aujourd'hui sont en déroute complète. Vivement que le président élu par les Ivoiriens viennent mettre tout le monde au travail .....dans la bonne gouvernance et l'équité.
Un ex-cadre du FDPCC
Dès la création de ce comité, il s'est agi pour son président de mettre en faillite l'une des dix plus vieilles entreprises du pays (sa création date de 1954) pour s'accaparer le terrain aux fins d'opérations immobilières dont il serait l'initiateur. Pour ce faire, un DG est nommé en remplacement d'un ancien cadre de la maison qui assurait l'intérim suite aux arrestations intervenues dans la filière. Ce DG, avec la bénédiction d'ANO GILBERT, va s'atteler à pousser vers la porte de sortie tous ceux qui pouvaient contrecarrer le projet. Ensuite, par des décisions de gestion dont la refondation est le prototype, ce DG a conduit l'entreprise en quasi cessation de paiement. A ce jour, la direction a décidé de licencier 12 employés pour motif économique. Mais sur la base de critères subjectifs et en foulant aux pieds les procédures en matière de droit du travail. La refondation va une fois de plus faire disparaître un ex-fleuron de l'agro alimentaire en Côte d'Ivoire du fait du copinage, de la mauvaise gouvernance, et des détournements. L'entreprise a bénéficié de plusieurs subventions du CGFCC. Pourtant, elle est tributaire de 750 millions de F CFA aux différents fournisseurs. Comment en est-on arrive là? Les biens de l'entreprise sont actuellement vendus aux dirigeants actuels à de prix dérisoires, la surfacturation des achats continue comme si de rien n'était et cela au détriment des 200 employés qui vivent directement de leur salaire dans l'entreprise. Sans compter les fournisseurs et autres clients qui aujourd'hui sont en déroute complète. Vivement que le président élu par les Ivoiriens viennent mettre tout le monde au travail .....dans la bonne gouvernance et l'équité.
Un ex-cadre du FDPCC