Guillaume Soro, Premier ministre d`Alassane Ouattara, l`un des deux présidents proclamés de Côte d`Ivoire avec le sortant Laurent Gbagbo, a été reçu samedi au palais présidentiel à Lomé par le président togolais Faure Gnassingbé, ont rapporté les médias d`Etat.
M. Soro est arrivé samedi en milieu de matinée dans la capitale togolaise
où il a passé quelques heures.
"Nous sommes venus faire le point sur la situation politique et économique
en Côte d`Ivoire, née de la crise postélectorale au président Faure
Gnassingbé, président en exercice de l`Union économique et monétaire
ouest-africaine (Uémoa)", a déclaré sur les médias d`Etat M. Soro.
"Nous avons fait un tour d`horizon sur l`état de fonctionnement de la
Banque Centre des Etats de l`Afrique de l`Ouest (BCEAO) en Côte d`Ivoire. Nous
avons constaté qu`effectivement le Président sortant avait pris des mesures
illégales et inacceptables et qu`il fallait prendre un certain nombre de
mesures à titre conservatoire", a-t-il indiqué.
"La Côte d`Ivoire et le gouvernement légal, légitime, reconnu par toutes
les instances de la sous-région, doivent continuer de travailler et faire en
sorte de préserver les acquis au plan économique et financier, pour que nous
puissions sortir rapidement de cette crise et que les Ivoiriens qui ont déjà
beaucoup souffert puissent renouer avec un quotidien plus agréable et plus
heureux", a ajouté le chef du gouvernement de M. Ouattara
Selon des sources proches de la présidence togolaise, MM. Soro et
Gnassingbé ont aussi planché sur la situation des banques internationales qui
ont suspendu leurs opérations ces derniers jours à Abidjan.
Au moins cinq banques internationales, françaises et américaines notamment,
avaient suspendu leurs opérations, dont les leaders Bicici et SGBCI.
A l`origine de ces fermetures en série: la rupture en janvier entre Abidjan
et la Banque centrale des Etats d`Afrique de l`Ouest (BCEAO), qui reconnaît
Alassane Ouattara.
Depuis le scrutin du 28 novembre, la Côte d`Ivoire est déchirée entre le
chef d`Etat sortant Laurent Gbagbo et M. Ouattara, reconnu président élu par
une grande partie de la communauté internationale, dont l`ex-puissance
coloniale française.
M. Soro est arrivé samedi en milieu de matinée dans la capitale togolaise
où il a passé quelques heures.
"Nous sommes venus faire le point sur la situation politique et économique
en Côte d`Ivoire, née de la crise postélectorale au président Faure
Gnassingbé, président en exercice de l`Union économique et monétaire
ouest-africaine (Uémoa)", a déclaré sur les médias d`Etat M. Soro.
"Nous avons fait un tour d`horizon sur l`état de fonctionnement de la
Banque Centre des Etats de l`Afrique de l`Ouest (BCEAO) en Côte d`Ivoire. Nous
avons constaté qu`effectivement le Président sortant avait pris des mesures
illégales et inacceptables et qu`il fallait prendre un certain nombre de
mesures à titre conservatoire", a-t-il indiqué.
"La Côte d`Ivoire et le gouvernement légal, légitime, reconnu par toutes
les instances de la sous-région, doivent continuer de travailler et faire en
sorte de préserver les acquis au plan économique et financier, pour que nous
puissions sortir rapidement de cette crise et que les Ivoiriens qui ont déjà
beaucoup souffert puissent renouer avec un quotidien plus agréable et plus
heureux", a ajouté le chef du gouvernement de M. Ouattara
Selon des sources proches de la présidence togolaise, MM. Soro et
Gnassingbé ont aussi planché sur la situation des banques internationales qui
ont suspendu leurs opérations ces derniers jours à Abidjan.
Au moins cinq banques internationales, françaises et américaines notamment,
avaient suspendu leurs opérations, dont les leaders Bicici et SGBCI.
A l`origine de ces fermetures en série: la rupture en janvier entre Abidjan
et la Banque centrale des Etats d`Afrique de l`Ouest (BCEAO), qui reconnaît
Alassane Ouattara.
Depuis le scrutin du 28 novembre, la Côte d`Ivoire est déchirée entre le
chef d`Etat sortant Laurent Gbagbo et M. Ouattara, reconnu président élu par
une grande partie de la communauté internationale, dont l`ex-puissance
coloniale française.