Le ministre de l'Agriculture, Dr Issa Malick Coulibaly, a invité, mercredi, les exportateurs de café et de cacao à écouler leurs stocks au plus tard le 31 mars, sous peine de sanctions financières.
"Ils ont des stocks et ont jusqu’à fin mars pour les exporter et payer à l’Etat ce qu’ils lui doivent. Nous attendons qu’ils fassent leur part de travail", a ajouté le ministre Issa Malick au cours d’une rencontre a avec les acteurs de la filière café-cacao à la Caistab.
Le ministre de l’Agriculture a profité de cette rencontre, pour réitérer l’engagement du gouvernement ivoirien, à commercialiser le café et le cacao produits en Côte d’Ivoire, en apportant un démenti sur une prétendue réquisition par l’Etat de stocks estimés à plus de 400.000 T.
"Ces stocks sont la propriété des exportateurs, sont dans leurs magasins et l’Etat n’a jamais décidé de les réquisitionner", a-t-il affirmé.
Le 6 mars, le président de la République a pris une ordonnance afin de permettre à l’Etat ivoirien de contrôler désormais l’achat et l’exportation du café et du cacao, en réponse à l’embargo exercé par l’Union européenne sur ces produits phares de l’économie ivoirienne, rappelle-t-on.
"Ils ont des stocks et ont jusqu’à fin mars pour les exporter et payer à l’Etat ce qu’ils lui doivent. Nous attendons qu’ils fassent leur part de travail", a ajouté le ministre Issa Malick au cours d’une rencontre a avec les acteurs de la filière café-cacao à la Caistab.
Le ministre de l’Agriculture a profité de cette rencontre, pour réitérer l’engagement du gouvernement ivoirien, à commercialiser le café et le cacao produits en Côte d’Ivoire, en apportant un démenti sur une prétendue réquisition par l’Etat de stocks estimés à plus de 400.000 T.
"Ces stocks sont la propriété des exportateurs, sont dans leurs magasins et l’Etat n’a jamais décidé de les réquisitionner", a-t-il affirmé.
Le 6 mars, le président de la République a pris une ordonnance afin de permettre à l’Etat ivoirien de contrôler désormais l’achat et l’exportation du café et du cacao, en réponse à l’embargo exercé par l’Union européenne sur ces produits phares de l’économie ivoirienne, rappelle-t-on.
