Les ex-rebelles ivoiriens des
Forces nouvelles (FN) ont affirmé vendredi ne pas être impliqués dans des tirs
à l`arme lourde à Tiébissou, ville proche de la capitale politique
Yamoussoukro, située à la lisière de la zone sud sous contrôle du président
sortant Laurent Gbagbo et du Nord ex-rebelle.
"Les Forces nouvelles ne sont pas concernées par cette attaque. Notre
check-point se trouve au nord de Tiébissou. Or, selon nos informations, les
tirs ont débuté à l`entrée sud de Tiébissou", a indiqué un responsable de la
communication des ex-rebelles, sous couvert de l`anonymat.
"Tous nos chefs militaires étaient à Bouaké (centre), il n`y a eu aucun
mouvement de troupes vers Tiébissou", plus au sud, a-t-il assuré.
Des combats entre forces loyales à M. Gbagbo et les Forces nouvelles,
alliées à Alassane Ouattara, reconnu président élu par la communauté
internationale, avaient déjà eu lieu mi-décembre dans cette ville située à une
quarantaine de km au nord de Yamoussoukro.
Les FN tiennent le nord du pays depuis leur putsch manqué de 2002.
Vendredi matin, la situation était calme à Tiébissou. "Les tirs ont cessé
vers 23H00 (locales et GMT) et le reste de la nuit s`est passé dans le calme",
a précisé un habitant joint par téléphone depuis Bouaké (centre). Les
activités, notamment les commerces, ont progressivement repris.
Les tirs dont l`origine n`était pas connue dans l`immédiat, avait débuté
vers 20H00.
Sollicité par l`AFP, le porte-parole des forces armées loyales à M. Gbagbo
n`a pas souhaité faire de commentaire.
Les tirs de jeudi soir survenaient alors que l`Union africaine a constaté
en sommet à Addis Abeba le désaccord entre les deux camps.
L`UA avait confirmé quelques heures plus tôt jeudi l`élection à la
présidence d`Alassane Ouattara mais le camp Gbagbo a rejeté cette décision et
agité la menace d`une reprise de la guerre civile.
Depuis trois semaines, des combats font rage dans l`ouest du pays entre FN
et forces pro-Gbagbo, tandis que la situation se détériore à Abidjan.
Forces nouvelles (FN) ont affirmé vendredi ne pas être impliqués dans des tirs
à l`arme lourde à Tiébissou, ville proche de la capitale politique
Yamoussoukro, située à la lisière de la zone sud sous contrôle du président
sortant Laurent Gbagbo et du Nord ex-rebelle.
"Les Forces nouvelles ne sont pas concernées par cette attaque. Notre
check-point se trouve au nord de Tiébissou. Or, selon nos informations, les
tirs ont débuté à l`entrée sud de Tiébissou", a indiqué un responsable de la
communication des ex-rebelles, sous couvert de l`anonymat.
"Tous nos chefs militaires étaient à Bouaké (centre), il n`y a eu aucun
mouvement de troupes vers Tiébissou", plus au sud, a-t-il assuré.
Des combats entre forces loyales à M. Gbagbo et les Forces nouvelles,
alliées à Alassane Ouattara, reconnu président élu par la communauté
internationale, avaient déjà eu lieu mi-décembre dans cette ville située à une
quarantaine de km au nord de Yamoussoukro.
Les FN tiennent le nord du pays depuis leur putsch manqué de 2002.
Vendredi matin, la situation était calme à Tiébissou. "Les tirs ont cessé
vers 23H00 (locales et GMT) et le reste de la nuit s`est passé dans le calme",
a précisé un habitant joint par téléphone depuis Bouaké (centre). Les
activités, notamment les commerces, ont progressivement repris.
Les tirs dont l`origine n`était pas connue dans l`immédiat, avait débuté
vers 20H00.
Sollicité par l`AFP, le porte-parole des forces armées loyales à M. Gbagbo
n`a pas souhaité faire de commentaire.
Les tirs de jeudi soir survenaient alors que l`Union africaine a constaté
en sommet à Addis Abeba le désaccord entre les deux camps.
L`UA avait confirmé quelques heures plus tôt jeudi l`élection à la
présidence d`Alassane Ouattara mais le camp Gbagbo a rejeté cette décision et
agité la menace d`une reprise de la guerre civile.
Depuis trois semaines, des combats font rage dans l`ouest du pays entre FN
et forces pro-Gbagbo, tandis que la situation se détériore à Abidjan.