Coup dur pour Laurent Gbagbo. L’ancien Chef de l’Etat, trempé dans des pratiques fétichistes depuis des années, ne sait plus où donner de la tête. Avant-hier, l’un de ses grands marabouts, résidant dans la localité de Laoudi-Ba dont il est le chef, a fui la ville. A peine a-t-il entendu les coups de feu, que ce chef de village, qui a reçu de nombreux dons de Laurent Gbagbo, dont une rutilante voiture 4x4, s’est cherché. Il est parti, laissant derrière lui, ses talismans. Ceux qui s’y connaissent, savent que les nouvelles ne sont pas du tout bonnes pour ses fidèles. Dont Laurent Gbagbo.
Une campagne de manipulation a cours, actuellement, contre le commando invisible. Les individus ont écrit un courrier adressé à l’ambassade du Liban, revendiquant au nom du commando, des menaces contre la vie des ressortissants libanais et surtout, revendiquant « l’enlèvement et l’exécution d’un traitre d’origine libanaise nommé Khalil Ali Fawaz (…) », patron de la société Cristaline. Il n’en est rien. Les responsables officiels du commando invisible démentent cette information et la mettent sur le compte d’une manipulation. Dans un courrier parvenu à notre Rédaction, ils expriment toute leur solidarité à la Communauté libanaise endeuillée et décline toute responsabilité. « Ne pouvant laisser prospérer une telle infamie, l’état-major du commando invisible élève la plus vive protestation contre de telles pratiques mafieuses, s’indigne contre le comportement peu honorable du ou des auteurs de ce tract », écrit-il.
Si je tombe, vous tombez, avait dit Laurent Gbagbo aux officiers de l’armée nationale. Alors que sa chute s’annonce de plus en plus inéluctable, Laurent Gbagbo convoque à tour de rôle les officiers généraux pour leur rappeler le pacte qui les lie. Seulement, trouve-t-il des oreilles attentives ? Pas si sûr. « Quand le tonnerre gronde, chacun attrape sa tête», dit le dicton.
Une campagne de manipulation a cours, actuellement, contre le commando invisible. Les individus ont écrit un courrier adressé à l’ambassade du Liban, revendiquant au nom du commando, des menaces contre la vie des ressortissants libanais et surtout, revendiquant « l’enlèvement et l’exécution d’un traitre d’origine libanaise nommé Khalil Ali Fawaz (…) », patron de la société Cristaline. Il n’en est rien. Les responsables officiels du commando invisible démentent cette information et la mettent sur le compte d’une manipulation. Dans un courrier parvenu à notre Rédaction, ils expriment toute leur solidarité à la Communauté libanaise endeuillée et décline toute responsabilité. « Ne pouvant laisser prospérer une telle infamie, l’état-major du commando invisible élève la plus vive protestation contre de telles pratiques mafieuses, s’indigne contre le comportement peu honorable du ou des auteurs de ce tract », écrit-il.
Si je tombe, vous tombez, avait dit Laurent Gbagbo aux officiers de l’armée nationale. Alors que sa chute s’annonce de plus en plus inéluctable, Laurent Gbagbo convoque à tour de rôle les officiers généraux pour leur rappeler le pacte qui les lie. Seulement, trouve-t-il des oreilles attentives ? Pas si sûr. « Quand le tonnerre gronde, chacun attrape sa tête», dit le dicton.
