Le président américain Barack Obama a
exhorté lundi le président ivoirien sortant Laurent Gbagbo à respecter la
volonté de ses compatriotes et à "cesser de revendiquer la présidence", a
indiqué la Maison Blanche.
M. Obama a réitéré l`appel déjà lancé par les Etats-Unis en direction de M.
Gbagbo, au cours d`une conversation téléphonique qu`il a eue avec son
homologue gabonais Ali Bongo Ondimba.
Les deux hommes ont exprimé leur préoccupation quant aux violences en cours
en Côte d`Ivoire et parlé de la nécessité de mettre fin à la crise "le plus
vite possible", a souligné la Maison Blanche dans un communiqué.
"Le président Obama a réitéré sa conviction que l`ancien président Gbagbo
doit respecter la volonté du peuple ivoirien et cesser de revendiquer la
présidence", a encore expliqué la présidence américaine.
Barack Obama a également remercié M. Bongo "pour le rôle important que le
Gabon joue au sein du Conseil de sécurité des Nations unies", a enfin souligné
la Maison Blanche.
Plus de quatre mois après le début d`une crise post-électorale qui a
dégénéré en quasi-guerre civile, les forces de l`ONU et de la France ont
frappé lundi à Abidjan les derniers bastions de Laurent Gbagbo, dont son
palais et sa résidence, le jour où les combattants d`Alassane Ouattara, le
président reconnu par la communauté internationale, engageaient une offensive
pour en finir avec son régime.
exhorté lundi le président ivoirien sortant Laurent Gbagbo à respecter la
volonté de ses compatriotes et à "cesser de revendiquer la présidence", a
indiqué la Maison Blanche.
M. Obama a réitéré l`appel déjà lancé par les Etats-Unis en direction de M.
Gbagbo, au cours d`une conversation téléphonique qu`il a eue avec son
homologue gabonais Ali Bongo Ondimba.
Les deux hommes ont exprimé leur préoccupation quant aux violences en cours
en Côte d`Ivoire et parlé de la nécessité de mettre fin à la crise "le plus
vite possible", a souligné la Maison Blanche dans un communiqué.
"Le président Obama a réitéré sa conviction que l`ancien président Gbagbo
doit respecter la volonté du peuple ivoirien et cesser de revendiquer la
présidence", a encore expliqué la présidence américaine.
Barack Obama a également remercié M. Bongo "pour le rôle important que le
Gabon joue au sein du Conseil de sécurité des Nations unies", a enfin souligné
la Maison Blanche.
Plus de quatre mois après le début d`une crise post-électorale qui a
dégénéré en quasi-guerre civile, les forces de l`ONU et de la France ont
frappé lundi à Abidjan les derniers bastions de Laurent Gbagbo, dont son
palais et sa résidence, le jour où les combattants d`Alassane Ouattara, le
président reconnu par la communauté internationale, engageaient une offensive
pour en finir avec son régime.