PARIS, François Fillon a vu dans l`arrestation du
président ivoirien déchu Laurent Gbagbo un "message symbolique extrêmement
fort à tous les dictateurs", en saluant à nouveau les victoires du "droit", de
la "démocratie" et des "Nations Unies".
"Nous avons envoyé avec l`Onu un message symbolique extrêmement fort à tous
les dictateurs. Nous leur avons indiqué que la légalité, la démocratie
devaient être respectées et qu`il y avait des risques pour ceux qui ne le
faisaient pas", a déclaré le Premier ministre devant l`Assemblée nationale
lors de la séance de questions au gouvernement.
Répondant à Jean-Marc Ayrault, chef de file des députés PS, le chef du
gouvernement a salué la "victoire du droit, la victoire de la démocratie, la
victoire des Nations unies en Côte d`Ivoire".
"Je dois dire de ce point de vue que je suis extrêmement choqué (...)
d`entendre un certain nombre de commentateurs mettre sur le même pied M.
Gbagbo et le président Ouattara, comme si en Afrique on ne pouvait pas avoir
d`élection et de démocratie", a-t-il poursuivi, en précisant ne pas vouloir
mettre en cause les socialistes.
"La vérité c`est que ceux qui présentent les événements de cette manière
laissent entendre que l`Afrique n`est pas apte à mettre en oeuvre la
démocratie", a jugé François Fillon.
président ivoirien déchu Laurent Gbagbo un "message symbolique extrêmement
fort à tous les dictateurs", en saluant à nouveau les victoires du "droit", de
la "démocratie" et des "Nations Unies".
"Nous avons envoyé avec l`Onu un message symbolique extrêmement fort à tous
les dictateurs. Nous leur avons indiqué que la légalité, la démocratie
devaient être respectées et qu`il y avait des risques pour ceux qui ne le
faisaient pas", a déclaré le Premier ministre devant l`Assemblée nationale
lors de la séance de questions au gouvernement.
Répondant à Jean-Marc Ayrault, chef de file des députés PS, le chef du
gouvernement a salué la "victoire du droit, la victoire de la démocratie, la
victoire des Nations unies en Côte d`Ivoire".
"Je dois dire de ce point de vue que je suis extrêmement choqué (...)
d`entendre un certain nombre de commentateurs mettre sur le même pied M.
Gbagbo et le président Ouattara, comme si en Afrique on ne pouvait pas avoir
d`élection et de démocratie", a-t-il poursuivi, en précisant ne pas vouloir
mettre en cause les socialistes.
"La vérité c`est que ceux qui présentent les événements de cette manière
laissent entendre que l`Afrique n`est pas apte à mettre en oeuvre la
démocratie", a jugé François Fillon.