L'audition du président sortant ivoirien Laurent Gbagbo prévue pour vendredi a été de nouveau reportée, selon des sources judiciaires ivoiriennes.
Ces sources font état du déroulement de cette audition "à une date ultérieure", sans autre précision.
M. Gbagbo placé en résidence surveillée à Korhogo (nord) depuis le 13 avril, devait être initialement entendu par des juges ivoiriens mercredi, mais l'audition a été reportée à vendredi après que ses avocats français eurent émis le désir d'effectuer le déplacement pour l'assister.
Ses avocats qui avaient pris l'avion pour la Côte d'Ivoire ont cependant été refoulés à l'aéroport d'Abidjan, faute de visas.
Jacques Vergès, l'un des avocats, a accusé le camp Ouattara de vouloir les empêcher de défendre Gbagbo.
"L'un des avocats de M. Gbagbo n'avait pas de visa, et l'autre avait un visa irrégulier", a expliqué le ministre de l'Intérieur du gouvernement Ouattara, Hamed Bakayoko.
"Je pense qu'il faut respecter les règles. Ils doivent se rendre à l'ambassade de Côte d'Ivoire à Paris pour se faire délivrer un visa en bonne et due forme", a-t-il ajouté.
Laurent Gbagbo devait être entendu par la justice ivoirienne dans le cadre d'une enquête préliminaire portant sur les violences post électorales qui ont fait au moins 3.000 morts selon les autorités ivoiriennes.
Le président sortant ivoirien est accusé d'exactions, de concussions et d'appels à la haine.
Son épouse Simone Gbagbo en résidence surveillée à Odiénné ( nord-ouest) et plusieurs de ses proches devront également être auditionnés par les juges.
La Côte d'Ivoire a amorcé un nouveau virage de sa vie politique depuis l'arrestation du président sortant Laurent Gbagbo le 11 avril par les forces républicaines de Côte d'Ivoire (FRCI, forces pro-Ouattara) avec le soutien des Casques bleus de l'ONU et de la force française Licorne.
Le président élu reconnu par l'ONU Alassane a prêté serment lors d'une cérémonie vendredi au Palais présidentiel, et s'est engagé à remettre le pays sur les rails du développement après cinq mois de conflit post électoral.
Ces sources font état du déroulement de cette audition "à une date ultérieure", sans autre précision.
M. Gbagbo placé en résidence surveillée à Korhogo (nord) depuis le 13 avril, devait être initialement entendu par des juges ivoiriens mercredi, mais l'audition a été reportée à vendredi après que ses avocats français eurent émis le désir d'effectuer le déplacement pour l'assister.
Ses avocats qui avaient pris l'avion pour la Côte d'Ivoire ont cependant été refoulés à l'aéroport d'Abidjan, faute de visas.
Jacques Vergès, l'un des avocats, a accusé le camp Ouattara de vouloir les empêcher de défendre Gbagbo.
"L'un des avocats de M. Gbagbo n'avait pas de visa, et l'autre avait un visa irrégulier", a expliqué le ministre de l'Intérieur du gouvernement Ouattara, Hamed Bakayoko.
"Je pense qu'il faut respecter les règles. Ils doivent se rendre à l'ambassade de Côte d'Ivoire à Paris pour se faire délivrer un visa en bonne et due forme", a-t-il ajouté.
Laurent Gbagbo devait être entendu par la justice ivoirienne dans le cadre d'une enquête préliminaire portant sur les violences post électorales qui ont fait au moins 3.000 morts selon les autorités ivoiriennes.
Le président sortant ivoirien est accusé d'exactions, de concussions et d'appels à la haine.
Son épouse Simone Gbagbo en résidence surveillée à Odiénné ( nord-ouest) et plusieurs de ses proches devront également être auditionnés par les juges.
La Côte d'Ivoire a amorcé un nouveau virage de sa vie politique depuis l'arrestation du président sortant Laurent Gbagbo le 11 avril par les forces républicaines de Côte d'Ivoire (FRCI, forces pro-Ouattara) avec le soutien des Casques bleus de l'ONU et de la force française Licorne.
Le président élu reconnu par l'ONU Alassane a prêté serment lors d'une cérémonie vendredi au Palais présidentiel, et s'est engagé à remettre le pays sur les rails du développement après cinq mois de conflit post électoral.
