En toute humilité (et seul face à son destin et son peuple,…) Blaise Compaoré a récité les leçons d’Houphouët Boigny. Il s’est souvenu. Il a écouté le murmure de sa population. Il a fait son introspection et pris la juste mesure de la situation nationale. D’emblée, Il a fait le bon diagnostic. En l’occurrence, le ‘’tableau clinique’’ du patient ‘’Burkina Faso’’ était ‘’poly traumatique’’. Son état nécessitait donc une réaction urgente sur tous les points sensibles. En tout premier lieu, il a eu la sagesse et l’écoute, pour trouver, à chaque mal, le remède approprié. La thérapie a consisté à un « exorcisme collectif » de la société. Celle-ci a eu un effet cathartique sur la population qui a ressenti la réaction du président, comme de la considération et du respect à son égard. C’est pourquoi, on peut le dire, Blaise seul contre tous a peut-être plié tel le roseau. Mais, il n’a pas rompu. Il a saisi le sens du ‘’malaise social’’ et, a réagi en Chef d’Etat lucide et modeste mais déterminé à répondre aux doléances des différentes couches sociales de la nation.
Homme de dialogue et de grande pondération, ce militaire « madré » a réussi sa ‘’mue’’ politique, au point, de devenir un « phare » dans la sous-région. Un autre Houphouët Boigny : Humilité, modestie, simplicité, grande qualité d’écoute et générosité en sus.
Paradoxe : Cet homme n’aime pas du tout la violence alors que militaire de formation, on serait tenté de le croire. Que nenni. Du reste, c’est à l’aune de ces crises à répétition, que l’on découvre véritablement l’homme. Pour lui, la sécurité, la paix et le bien-être des Burkinabè est au-dessus de tout. Et, pour cela, il est prêt à tous les sacrifices : Préserver le Burkina de la violence et du désordre en montrant un sens élevé de l’amour de son pays, un « patriotisme vrai » loin des stéréotypes éculés et ringards de pays qui ont piétiné et renié les valeurs et vertus qui fondent leurs nations : rassemblement, terre d’espérance, pays d’hospitalité, fraternité.
Aussi, Chaque fois que les avatars de l’histoire ont voulu éprouver le peuple Burkinabè, Blaise a su en tirer les enseignements et, puiser au plus profond de lui-même pour trouver, des solutions adaptées, aux circonstances. Les réformes initiées depuis le ‘’collège des sages’’ (1999), attestent son engagement en faveur de la consolidation de la démocratie. Cela est une constante positive du PF. Il a le sens du compromis et des concessions. Il a de la lucidité et de la clairvoyance. Cette crise l’aura, une fois encore, révélé. Les reformes envisagées visent à faire la promotion de la démocratie, et de l’Etat de Droit. Ce n’est point pour s’accrocher à l’art 37 et, faire un autre mandat. Il a tant donné à son pays… tant et tant…
Homme d’écoute
A l’écoute de son peuple, il a appris à saisir ses moindres préoccupations. Aussi, s’efforce-t-il, autant que de besoin, de leur apporter les solutions idoines. S’il a su (et pu) mettre avec modestie mais engagement les Burkinabè au travail et, leur a rendu fierté et dignité, que les nihilistes sous la latitude Abidjanaise voulaient leur denier par obstruction et ostracisme ; il a aussi, et, surtout donné au pays des hommes intègres, une quiétude et une stabilité que lui envient bien d’Etats africains. Ce sont des acquis inestimables que, chaque Burkinabè doit s’atteler à préserver comme la prunelle de ses yeux. Le patriotisme qui est une valeur sacrée au Burkina, ne fait pas bon ménage avec le désordre et l’intolérance ‘’mère’’ de tous les vices. C’est pourquoi, il faut saluer la sagesse du grand peuple du Faso et en féliciter tous les acteurs qui, dans un sursaut patriotique, de très grande dignité ont tous compris, que le Burkina était au dessus des incompréhensions, des querelles politiciennes, des contradictions dialectiques et des différences d’opinion. Ce qui s’est passé chez le voisin ivoirien est à méditer : un pays meurtri, désorganisé et sans âme.
La grandeur d’esprit de Hermann Yaméogo
C’est pour cela qu’il faut saluer, à sa juste valeur, la récente sortie de Me Hermann Yaméogo qui, dans un français châtié et un langage bien à propos, a rappelé à l’ordre des négateurs des évidences d’un Burkina qui, malgré tout, a avancé, a évolué et s’est développé. Pour l’occasion, « l’Avocat tribun » a montré une grandeur d’esprit et un sens des responsabilités qui l’honorent. Il épouse enfin les « habits d’homme d’Etat ». Il se met au dessus de la mêlée et recentre le débat.
Le peuple a de la mémoire. Il sait qui est Compaoré et ce qu’il a fait pour son pays. C’est pourquoi, Me Hermann Yaméogo dénonce cette « politique à la petite semaine » et, demande de donner une chance aux reformes. Aussi, fait-il la nique aux partisans du, « Tout sauf Compaoré ». Le leader de l’UNDD se désolidarise ainsi, de ceux qui veulent emprunter des raccourcis pour parvenir au pouvoir illégalement.
Hermann a battu en brèche les ‘’thèses séditieuses’’.
Il en est de même pour le sage ‘’Ram Ouédraogo’’ et le ‘’jeune Loup’’ de l’arène politique Burkinabé, Maxime Kaboré pour son élévation d’esprit. Il a tenu des propos plein de sagesse tenus ce vendredi 6 Mai sur les antennes de la Télévision Burkinabé au journal de 20h.
Les nouveaux chantiers politiques (reformes) et sociaux (satisfaction des revendications) ouverts par le Président Blaise Compaoré et, mis en œuvre par le nouveau Premier ministre Luc Adolphe Tiao et le nouveau gouvernement, apportent des réponses claires aux attentes des Burkinabè. La pluie de ces derniers jours est un bon présage pour l’avenir. L’eau sera abondante. Les greniers seront pleins, la fraîcheur se substituera à la chaleur. Demain sera meilleur qu’aujourd’hui.
Bamba Alex Souleymane
Journaliste professionnel
Consultant en stratégies
et relations internationales
Conseiller Spécial du
Premier Ministre de Côte d’Ivoire
Homme de dialogue et de grande pondération, ce militaire « madré » a réussi sa ‘’mue’’ politique, au point, de devenir un « phare » dans la sous-région. Un autre Houphouët Boigny : Humilité, modestie, simplicité, grande qualité d’écoute et générosité en sus.
Paradoxe : Cet homme n’aime pas du tout la violence alors que militaire de formation, on serait tenté de le croire. Que nenni. Du reste, c’est à l’aune de ces crises à répétition, que l’on découvre véritablement l’homme. Pour lui, la sécurité, la paix et le bien-être des Burkinabè est au-dessus de tout. Et, pour cela, il est prêt à tous les sacrifices : Préserver le Burkina de la violence et du désordre en montrant un sens élevé de l’amour de son pays, un « patriotisme vrai » loin des stéréotypes éculés et ringards de pays qui ont piétiné et renié les valeurs et vertus qui fondent leurs nations : rassemblement, terre d’espérance, pays d’hospitalité, fraternité.
Aussi, Chaque fois que les avatars de l’histoire ont voulu éprouver le peuple Burkinabè, Blaise a su en tirer les enseignements et, puiser au plus profond de lui-même pour trouver, des solutions adaptées, aux circonstances. Les réformes initiées depuis le ‘’collège des sages’’ (1999), attestent son engagement en faveur de la consolidation de la démocratie. Cela est une constante positive du PF. Il a le sens du compromis et des concessions. Il a de la lucidité et de la clairvoyance. Cette crise l’aura, une fois encore, révélé. Les reformes envisagées visent à faire la promotion de la démocratie, et de l’Etat de Droit. Ce n’est point pour s’accrocher à l’art 37 et, faire un autre mandat. Il a tant donné à son pays… tant et tant…
Homme d’écoute
A l’écoute de son peuple, il a appris à saisir ses moindres préoccupations. Aussi, s’efforce-t-il, autant que de besoin, de leur apporter les solutions idoines. S’il a su (et pu) mettre avec modestie mais engagement les Burkinabè au travail et, leur a rendu fierté et dignité, que les nihilistes sous la latitude Abidjanaise voulaient leur denier par obstruction et ostracisme ; il a aussi, et, surtout donné au pays des hommes intègres, une quiétude et une stabilité que lui envient bien d’Etats africains. Ce sont des acquis inestimables que, chaque Burkinabè doit s’atteler à préserver comme la prunelle de ses yeux. Le patriotisme qui est une valeur sacrée au Burkina, ne fait pas bon ménage avec le désordre et l’intolérance ‘’mère’’ de tous les vices. C’est pourquoi, il faut saluer la sagesse du grand peuple du Faso et en féliciter tous les acteurs qui, dans un sursaut patriotique, de très grande dignité ont tous compris, que le Burkina était au dessus des incompréhensions, des querelles politiciennes, des contradictions dialectiques et des différences d’opinion. Ce qui s’est passé chez le voisin ivoirien est à méditer : un pays meurtri, désorganisé et sans âme.
La grandeur d’esprit de Hermann Yaméogo
C’est pour cela qu’il faut saluer, à sa juste valeur, la récente sortie de Me Hermann Yaméogo qui, dans un français châtié et un langage bien à propos, a rappelé à l’ordre des négateurs des évidences d’un Burkina qui, malgré tout, a avancé, a évolué et s’est développé. Pour l’occasion, « l’Avocat tribun » a montré une grandeur d’esprit et un sens des responsabilités qui l’honorent. Il épouse enfin les « habits d’homme d’Etat ». Il se met au dessus de la mêlée et recentre le débat.
Le peuple a de la mémoire. Il sait qui est Compaoré et ce qu’il a fait pour son pays. C’est pourquoi, Me Hermann Yaméogo dénonce cette « politique à la petite semaine » et, demande de donner une chance aux reformes. Aussi, fait-il la nique aux partisans du, « Tout sauf Compaoré ». Le leader de l’UNDD se désolidarise ainsi, de ceux qui veulent emprunter des raccourcis pour parvenir au pouvoir illégalement.
Hermann a battu en brèche les ‘’thèses séditieuses’’.
Il en est de même pour le sage ‘’Ram Ouédraogo’’ et le ‘’jeune Loup’’ de l’arène politique Burkinabé, Maxime Kaboré pour son élévation d’esprit. Il a tenu des propos plein de sagesse tenus ce vendredi 6 Mai sur les antennes de la Télévision Burkinabé au journal de 20h.
Les nouveaux chantiers politiques (reformes) et sociaux (satisfaction des revendications) ouverts par le Président Blaise Compaoré et, mis en œuvre par le nouveau Premier ministre Luc Adolphe Tiao et le nouveau gouvernement, apportent des réponses claires aux attentes des Burkinabè. La pluie de ces derniers jours est un bon présage pour l’avenir. L’eau sera abondante. Les greniers seront pleins, la fraîcheur se substituera à la chaleur. Demain sera meilleur qu’aujourd’hui.
Bamba Alex Souleymane
Journaliste professionnel
Consultant en stratégies
et relations internationales
Conseiller Spécial du
Premier Ministre de Côte d’Ivoire