Ceux qui ont parcouru hier, les voies et artères d’Abidjan, ont subi à nouveau les désagréments de l’embouteillage. La circulation n’était pas aisée, avec les longues files de véhicules et de camions. Le message était très clair, comme l’eau de roche. Après des semaines de frayeur, la vie reprend dans la capitale économique. Le travail aussi ! Après le pari tenu par le Président Alassane Ouattara et son gouvernement de payer deux mois de salaire aux fonctionnaires, ces derniers étaient en droit de lui donner un signal fort, en reprenant le travail. La normalité est en cours. A n’en point douter, il ne faut plus se faire d’illusion. Les temps ont véritablement changé et le pays est désormais en de bonnes mains, avec la gouvernance Ouattara. En d’autres termes, le pouvoir Gbagbo appartient plus que jamais au passé. A vue d’œil, les Ivoiriens vaquent tranquillement à leurs occupations, dans le meilleur des mondes. Comme pour dire aux uns et aux autres que la vie d’une nation ne saurait se résumer aux agissements d’un ancien président qui a commis le crime de se croire investi d’une mission divine, au point de vouloir gouverner contre son peuple. A présent, il est en résidence surveillée à Korhogo. Avant-hier, depuis sa retraite de la cité du Poro, très en verve, il a dit à ses concitoyens qu’il dort bien, mange bien et est bien traité. Un discours à vite décrypter par ses derniers fantassins de Yopougon, qui refusent de déposer les armes et engagent un combat sans issue. A quoi sert-il d’emprunter les voies de l’aventure quand celui pour qui l’on continue de se battre, a reconnu sa défaite électorale et a appelé à la cessation des hostilités ? A vouloir être plus royaliste que le roi, on court droit au suicide. C’est ce destin que semble avoir choisi les éléments résiduels de la refondation. Retranchés dans leur terrier de Yopougon, ces mercenaires ne savent pas que l’ère Gbagbo est achevée et que les Ivoiriens ont accordé leur confiance au Président Alassane Ouattara. Mieux, depuis quelques jours, nos compatriotes ont repris confiance et goût à la vie. Comme les FRCI, ils ne sont plus prêts à laisser des menus fretins mettre en mal leur quiétude
Trait d’esprit : Erreur de gawa!
Attention! Le boulanger respire. Il a toujours su jouer des tours. Selon Annan. Il aurait reconnu sa défaite. Ce n’est pas clair. Y’a problème! Le Woody vous a averti. Chaque prési a son petit nom. Lui c’est le boulanger. Que le Brave Tchê ne se méprenne. Cet homme n’a pas changé. Comme le molosse… Erreur de gawa!
Coulibaly B.
Trait d’esprit : Erreur de gawa!
Attention! Le boulanger respire. Il a toujours su jouer des tours. Selon Annan. Il aurait reconnu sa défaite. Ce n’est pas clair. Y’a problème! Le Woody vous a averti. Chaque prési a son petit nom. Lui c’est le boulanger. Que le Brave Tchê ne se méprenne. Cet homme n’a pas changé. Comme le molosse… Erreur de gawa!
Coulibaly B.