Ils étaient sérieusement touchés. Retrouver encore l'usage de leurs membres inférieurs était un véritable miracle pour eux. Ceux qui ont été prompts à se rendre dans les différentes formations sanitaires vont beaucoup mieux. Leur état de santé s'est beaucoup amélioré. Les patients que nous avons rencontrés n'étaient plus anxieux. Les gonflements de jambes et les boursouflures des visages avaient presque disparus. Ils arrivaient à marcher. Mais ils n'avaient pas encore retrouvé leur agilité d'antan. Nous avons rencontré une famille à Abobo Avocatier et une personne sont atteintes de cette maladie. « (…) Cela fait près de cinq mois que j'ai cette maladie, ça se calme et ça revient. Au début mes pieds ont commencé à s'enfler ainsi que mon visage. Et des contractions au niveau de mes doigts et des douleurs abdominaux, mes poitrines aussi me font très mal. Mais lorsque je suis rendu à l'hôpital, j'ai été mis sous traitement et aujourd'hui ma santé s'améliore », a expliqué Koné Lamine, élève en classe de 2nd. Agé de 22 ans, il marche difficilement.
Son frère Koné Nagnana, âgé de 19 ans, présente les mêmes symptômes. Lui, il a contracté la maladie depuis deux mois. Il a été aussi pris en charge, par les spécialistes à la Formation sanitaire Henriette Bédié à Abobo. Quant à Koné Porna et Koné Ahmadou, ils se remettent progressivement. Mais ils soutiennent qu'ils sentent encore des lourdeurs dans les jambes. Toute chose qui rende davantage difficile la marche. En tout cas les différents signes cliniques visibles sur ces patients démontrent qu'il s'agit d'une malnutrition. Les parents de ces malades sillonnent les différents quartiers à la recherche de malades cachés. Mademoiselle Kanté, elle a perdu son frère répondant au nom de Kanté Zanga. Il est décédé de cette maladie le 9 avril dernier. « Sa maladie avait atteint un stade très avancé et il faisait une insuffisance cardiaque. Mais hélas », a fondu en larmes Mlle Kanté. Avant d'inviter tous les malades encore cachés dans les maisons à aller vers les centres de santé.
AC
Son frère Koné Nagnana, âgé de 19 ans, présente les mêmes symptômes. Lui, il a contracté la maladie depuis deux mois. Il a été aussi pris en charge, par les spécialistes à la Formation sanitaire Henriette Bédié à Abobo. Quant à Koné Porna et Koné Ahmadou, ils se remettent progressivement. Mais ils soutiennent qu'ils sentent encore des lourdeurs dans les jambes. Toute chose qui rende davantage difficile la marche. En tout cas les différents signes cliniques visibles sur ces patients démontrent qu'il s'agit d'une malnutrition. Les parents de ces malades sillonnent les différents quartiers à la recherche de malades cachés. Mademoiselle Kanté, elle a perdu son frère répondant au nom de Kanté Zanga. Il est décédé de cette maladie le 9 avril dernier. « Sa maladie avait atteint un stade très avancé et il faisait une insuffisance cardiaque. Mais hélas », a fondu en larmes Mlle Kanté. Avant d'inviter tous les malades encore cachés dans les maisons à aller vers les centres de santé.
AC
