La campagne de commercialisation cotonnière s’annonce bonne pour les planteurs. Le coton-graine premier choix sera acheté à 265 Fcfa/kg aux producteurs pour le compte de la campagne 2011-2012. En ce qui concerne le deuxième choix, il s’échangera à 240 Fcfa/kg.
Ainsi en a décidé le conseil d’administration de l’Intercoton. «C’est le résultat des négociations entre les représentants des égreneurs et des producteurs », a étayé le président Lacina Tuo. Quant aux intrants, le prix de cession des insecticides est fixé à 35.000 Fcfa par hectare.
Au niveau du sac d’engrais de 50 kilogrammes, les montants varieront de 17.500 Fcfa (le NPK) à 16.000 Fcfa (l’Urée). Ces prix, relativement incitatifs, répondent au souci des autorités de revaloriser les efforts des producteurs agricoles en relevant sensiblement leurs revenus, et intervient en début de la campagne 2011-2012 pour rassurer et accompagner ces producteurs afin de mieux guider leurs choix et leur engagement dans la production des différentes spéculations et de prendre leur décision en toute connaissance de cause.
La tendance baissière de la production cotonnière ( la Côte d’Ivoire est passée de la 3 ème à la 4 ème place) peine à s’inverser malgré les efforts consentis par l’Etat au profit de ce sous-secteur agricole, déplore le président Lacina Tuo. Mais, il espère que le niveau de la production devrait grimper à 200.000 tonnes. Surtout que les semences mises à la disposition des paysans sont de qualité. Tout comme les conditions climatiques de plus en plus favorables. Il suffira pour les producteurs de suivre les itinéraires culturaux pour booster les rendements.
Cependant, l’Etat et les acteurs privés devraient convenir de la nécessité d’élaborer de nouveaux cadres de référence pour un développement durable de la filière coton et mettre en œuvre quelques actions urgentes au titre de la campagne 2010- 2011. Outre la mise à disposition effective des 14 milliards Fcfa de subvention, il s’agit entre autres de la création des coopératives villageoises compétitives de producteurs de coton pour assainir la gestion des intrants et renforcer la gouvernance au sein des élus, du renforcement du personnel d’encadrement et du suivi rapproché des producteurs de coton.
En attendant, les superficies emblavées pourront atteindre les 216.000 hectares.
L.B.
Ainsi en a décidé le conseil d’administration de l’Intercoton. «C’est le résultat des négociations entre les représentants des égreneurs et des producteurs », a étayé le président Lacina Tuo. Quant aux intrants, le prix de cession des insecticides est fixé à 35.000 Fcfa par hectare.
Au niveau du sac d’engrais de 50 kilogrammes, les montants varieront de 17.500 Fcfa (le NPK) à 16.000 Fcfa (l’Urée). Ces prix, relativement incitatifs, répondent au souci des autorités de revaloriser les efforts des producteurs agricoles en relevant sensiblement leurs revenus, et intervient en début de la campagne 2011-2012 pour rassurer et accompagner ces producteurs afin de mieux guider leurs choix et leur engagement dans la production des différentes spéculations et de prendre leur décision en toute connaissance de cause.
La tendance baissière de la production cotonnière ( la Côte d’Ivoire est passée de la 3 ème à la 4 ème place) peine à s’inverser malgré les efforts consentis par l’Etat au profit de ce sous-secteur agricole, déplore le président Lacina Tuo. Mais, il espère que le niveau de la production devrait grimper à 200.000 tonnes. Surtout que les semences mises à la disposition des paysans sont de qualité. Tout comme les conditions climatiques de plus en plus favorables. Il suffira pour les producteurs de suivre les itinéraires culturaux pour booster les rendements.
Cependant, l’Etat et les acteurs privés devraient convenir de la nécessité d’élaborer de nouveaux cadres de référence pour un développement durable de la filière coton et mettre en œuvre quelques actions urgentes au titre de la campagne 2010- 2011. Outre la mise à disposition effective des 14 milliards Fcfa de subvention, il s’agit entre autres de la création des coopératives villageoises compétitives de producteurs de coton pour assainir la gestion des intrants et renforcer la gouvernance au sein des élus, du renforcement du personnel d’encadrement et du suivi rapproché des producteurs de coton.
En attendant, les superficies emblavées pourront atteindre les 216.000 hectares.
L.B.
