Qui d’entre eux est-il le plus cruel ? Est-ce celui qui, de sang froid, regardant sa victime droit dans les yeux, a appuyé sur la gâchette, privant ainsi toute une famille d’un être profondément aimé ? Ou bien, est-ce ce donneur ‘d’ordres qui, se cachant derrière sa puissance et son pouvoir, a crié de façon inhumaine : « débarrassez-moi de ce mec ! » ?
Peut-être que la palme de la cruauté revient à celui dont la mission était de veiller sur la sécurité de tous les citoyens mais, qui a donné la bénédiction à ceux dont la spécialité était de leur arracher la vie, ce bien précieux. En dehors des avocats dont le rôle dans la société, est de défendre même le diable qui a la queue la plus longue au monde, tous ceux qui réclament aujourd’hui la libération de ceux qui sont dans l’attente d’un jugement, sont des sans cœur. L’exécuteur des basses œuvres pensent certainement qu’il peut échapper à la justice des hommes, en apprenant au bon peuple de Côte d’Ivoire, qu’il n’a fait qu’obéir à une injonction d’un supérieur. Il aura oublié que l’inspirateur de toutes ces cruautés a dit, une fois, devant Dieu et devant les hommes, que quand on t’envoie, il faut savoir t’envoyer. A présent, l’inspirateur dira qu’il n’a jamais demandé à quelqu’un de tuer. Pourtant, quand d’innocentes personnes perdaient la vie sous les balles assassines de ses messagers, jamais il n’a dit que ce n’est pas cela qu’il voulait. Jamais, il n’a condamné la moindre tuerie. Jamais il n’a puni un assassin pour marquer sa désapprobation, son indignation. Or, qui ne dit rien consent. Qui ne punit pas, encourage. D’ailleurs, le bon peuple de Côte d’Ivoire voit bien que l’inspirateur n’a pas lésiné sur les moyens pour aider l’exécuteur à remplir sa mission.
Pourquoi, le socialiste à l’ivoirienne aurait-il dépensé tant d’argent pour acheter les armes les plus meurtrières, si ce n’est pas pour exterminer des présumés ennemis ? Aurait-il été content si ces machines à tuer n’étaient pas utilisées ? La nouvelle Côte d’Ivoire que veut bâtir le nouveau président, ne peut encourager les crimes, les exécutions sommaires et extrajudiciaires. Avec ces demandes de libération, le bon peuple est tenté de croire que les disciples du Christ de Mama estiment que la liberté de leur maître est de loin plus importante que la mort des milliers et des milliers de personnes. L’élargissement de l’ex et nouvel opposant peut-il ramener à la vie tous ces morts ? Si l’historien doit être libéré pour que ses partisans puissent participer à l’œuvre de reconstruction, que doit-on donner aux familles qui ont perdu des êtres chers pour qu’elles y participent également, le cœur apaisé ? Quel sera alors le message adressé aux populations par cette libération, si elle intervenait ? Tuer, c’est cruel. Ne pas reconnaître que ce n’est pas bien de tuer, c’est encore plus cruel. Or, la cruauté doit être bannie de la Côte d’Ivoire nouvelle
Peut-être que la palme de la cruauté revient à celui dont la mission était de veiller sur la sécurité de tous les citoyens mais, qui a donné la bénédiction à ceux dont la spécialité était de leur arracher la vie, ce bien précieux. En dehors des avocats dont le rôle dans la société, est de défendre même le diable qui a la queue la plus longue au monde, tous ceux qui réclament aujourd’hui la libération de ceux qui sont dans l’attente d’un jugement, sont des sans cœur. L’exécuteur des basses œuvres pensent certainement qu’il peut échapper à la justice des hommes, en apprenant au bon peuple de Côte d’Ivoire, qu’il n’a fait qu’obéir à une injonction d’un supérieur. Il aura oublié que l’inspirateur de toutes ces cruautés a dit, une fois, devant Dieu et devant les hommes, que quand on t’envoie, il faut savoir t’envoyer. A présent, l’inspirateur dira qu’il n’a jamais demandé à quelqu’un de tuer. Pourtant, quand d’innocentes personnes perdaient la vie sous les balles assassines de ses messagers, jamais il n’a dit que ce n’est pas cela qu’il voulait. Jamais, il n’a condamné la moindre tuerie. Jamais il n’a puni un assassin pour marquer sa désapprobation, son indignation. Or, qui ne dit rien consent. Qui ne punit pas, encourage. D’ailleurs, le bon peuple de Côte d’Ivoire voit bien que l’inspirateur n’a pas lésiné sur les moyens pour aider l’exécuteur à remplir sa mission.
Pourquoi, le socialiste à l’ivoirienne aurait-il dépensé tant d’argent pour acheter les armes les plus meurtrières, si ce n’est pas pour exterminer des présumés ennemis ? Aurait-il été content si ces machines à tuer n’étaient pas utilisées ? La nouvelle Côte d’Ivoire que veut bâtir le nouveau président, ne peut encourager les crimes, les exécutions sommaires et extrajudiciaires. Avec ces demandes de libération, le bon peuple est tenté de croire que les disciples du Christ de Mama estiment que la liberté de leur maître est de loin plus importante que la mort des milliers et des milliers de personnes. L’élargissement de l’ex et nouvel opposant peut-il ramener à la vie tous ces morts ? Si l’historien doit être libéré pour que ses partisans puissent participer à l’œuvre de reconstruction, que doit-on donner aux familles qui ont perdu des êtres chers pour qu’elles y participent également, le cœur apaisé ? Quel sera alors le message adressé aux populations par cette libération, si elle intervenait ? Tuer, c’est cruel. Ne pas reconnaître que ce n’est pas bien de tuer, c’est encore plus cruel. Or, la cruauté doit être bannie de la Côte d’Ivoire nouvelle
