Une soixantaine d’éléments des Forces républicaines de Côte d’Ivoire agissant sous les ordres du Commandant de la zone d’Adjamé Koné Zakaria ont sécurisé une opération de démolition de la clôture de la gare de la compagnie STB le samedi 11 juin 2011. Une opération diligentée par des acteurs du transport routier (chauffeurs, syndicalistes et transporteurs) réunis au sein de la Coordination des gares routières (Cngr) d’Adama Touré qui lutte le site avec l’Eglise Méthodiste Unie depuis 2008. Mais, le conflit foncier s’est mué en guerre ouverte entre transporteurs et syndicalistes. Depuis lors, chaque camp mobilise ses appuis au sommet de l’Etat. Tourmentant ainsi la République.
L’espace Gbêba d’une superficie de sept (7) hectares, situé entre les gares STIF et UTB est au centre d’un conflit opposant depuis 2008 des acteurs du transport majoritairement des syndicalistes pilotés par le leader de la CNGR-CI d’Adama Touré et l’Eglise Méthodiste Unie de Côte d’Ivoire. Ce conflit foncier porté sur la table de la justice par le Bishop Benjamin Boni la même année a connu un nouveau développement le samedi dernier. Ce jour, des éléments des FRCI basés à Adjamé ont sécurisé la destruction de la clôture de la compagnie STB appartenant à M. Kouassi Philippe, cadre de Bonoua. Une opération à l’actif du collectif de syndicalistes du milieu qui ont mobilisé à cette fin deux machines de type Caterpillar et une soixantaine de soldats des FRCI. «Aujourd’hui, justice vient de nous être faite plus de dix ans après notre expropriation par l’Etat en attribuant une partie de notre gare à une église qui n’a jamais vu le jour», s’est réjoui Blaise Fofana, membre du collectif des syndicats de transporteurs. Un avis qui s’oppose à l’appréciation du Groupement d’intérêt économique (GIE) des propriétaires de véhicules de transports, creuset de transporteurs disposant d’une flotte d’au moins une cinquantaine de cars et auto-cars.
L’espace Gbêba d’une superficie de sept (7) hectares, situé entre les gares STIF et UTB est au centre d’un conflit opposant depuis 2008 des acteurs du transport majoritairement des syndicalistes pilotés par le leader de la CNGR-CI d’Adama Touré et l’Eglise Méthodiste Unie de Côte d’Ivoire. Ce conflit foncier porté sur la table de la justice par le Bishop Benjamin Boni la même année a connu un nouveau développement le samedi dernier. Ce jour, des éléments des FRCI basés à Adjamé ont sécurisé la destruction de la clôture de la compagnie STB appartenant à M. Kouassi Philippe, cadre de Bonoua. Une opération à l’actif du collectif de syndicalistes du milieu qui ont mobilisé à cette fin deux machines de type Caterpillar et une soixantaine de soldats des FRCI. «Aujourd’hui, justice vient de nous être faite plus de dix ans après notre expropriation par l’Etat en attribuant une partie de notre gare à une église qui n’a jamais vu le jour», s’est réjoui Blaise Fofana, membre du collectif des syndicats de transporteurs. Un avis qui s’oppose à l’appréciation du Groupement d’intérêt économique (GIE) des propriétaires de véhicules de transports, creuset de transporteurs disposant d’une flotte d’au moins une cinquantaine de cars et auto-cars.