Y.J. Choi, le patron de l’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire, a confié, hier, au terme d’une audience avec Alassane Ouattara, que celui-ci prendra, sans tarder, des mesures dans le sens de la sécurisation totale du territoire national.
La sécurité sur le territoire national sera largement améliorée dans un bref délai. Selon Y.J. Choi, le chef de l’Etat lui a donné l’assurance que, très bientôt, des actions seront menées dans ce sens. « Sur le plan de la sécurité, on doit avoir une vision claire sur le dispositif de sécurité nationale. Le président Ouattara nous a assuré qu’il va prendre des mesures sans tarder », a-t-il confié à la sortie d’une audience avec le locataire du palais d’Abidjan. « Nous avons parlé de la question de la restauration de l’ordre et de la sécurité dans le pays qui est largement sur place sauf quelques problèmes dans l’Ouest. Nous avons parlé de la réconciliation nationale. Vous avez remarqué la mise en place de la commission. Nous avons aussi parlé de l’organisation des élections législatives », a révélé le patron de l’Onuci. L’Onuci, a-t-il rappelé, a eu des séances de travail avec le président de la Commission électorale indépendante (Cei), Youssouf Bakayoko, pour voir comment elle pourrait aider à la préparation et à l’organisation des législatives. « Nous avons parlé aussi de la relance économique qui est un préalable à tout. L’Onuci a des perspectives optimistes et réalistes », a-t-il poursuivi. Y.J. Choi estime que l’économie est intimement liée à la sécurité. Qualifiant de « transitoire » « le déficit sécuritaire » à l’Ouest, le patron de l’Onuci a dit la volonté de son organisation à aider les autorités ivoiriennes à combler ce manque. Selon lui, ils ont discuté, dans ce sens, de « la possibilité d’augmentation des forces de l’Onuci des zones stables vers l’Ouest ».
Avant M. Choi, Alassane Ouattara a reçu l’ambassadeur d’Egypte. Tarek Ibrahim Maaty a discuté avec son hôte de la possibilité pour les deux pays d’entamer, ensemble, leur redécollage après avoir traversé, chacun une crise. Selon le diplomate, la question de la construction du pont de Jacqueville, dont s’occupent des Egyptiens, a été abordée.
Bamba K. Inza
La sécurité sur le territoire national sera largement améliorée dans un bref délai. Selon Y.J. Choi, le chef de l’Etat lui a donné l’assurance que, très bientôt, des actions seront menées dans ce sens. « Sur le plan de la sécurité, on doit avoir une vision claire sur le dispositif de sécurité nationale. Le président Ouattara nous a assuré qu’il va prendre des mesures sans tarder », a-t-il confié à la sortie d’une audience avec le locataire du palais d’Abidjan. « Nous avons parlé de la question de la restauration de l’ordre et de la sécurité dans le pays qui est largement sur place sauf quelques problèmes dans l’Ouest. Nous avons parlé de la réconciliation nationale. Vous avez remarqué la mise en place de la commission. Nous avons aussi parlé de l’organisation des élections législatives », a révélé le patron de l’Onuci. L’Onuci, a-t-il rappelé, a eu des séances de travail avec le président de la Commission électorale indépendante (Cei), Youssouf Bakayoko, pour voir comment elle pourrait aider à la préparation et à l’organisation des législatives. « Nous avons parlé aussi de la relance économique qui est un préalable à tout. L’Onuci a des perspectives optimistes et réalistes », a-t-il poursuivi. Y.J. Choi estime que l’économie est intimement liée à la sécurité. Qualifiant de « transitoire » « le déficit sécuritaire » à l’Ouest, le patron de l’Onuci a dit la volonté de son organisation à aider les autorités ivoiriennes à combler ce manque. Selon lui, ils ont discuté, dans ce sens, de « la possibilité d’augmentation des forces de l’Onuci des zones stables vers l’Ouest ».
Avant M. Choi, Alassane Ouattara a reçu l’ambassadeur d’Egypte. Tarek Ibrahim Maaty a discuté avec son hôte de la possibilité pour les deux pays d’entamer, ensemble, leur redécollage après avoir traversé, chacun une crise. Selon le diplomate, la question de la construction du pont de Jacqueville, dont s’occupent des Egyptiens, a été abordée.
Bamba K. Inza