Abidjan – La Banque mondiale et la Côte d’Ivoire ont signé, mardi à Abidjan, une convention de don de 18 milliards FCFA sur les 20 milliards prévus pour revigorer le secteur agricole.
Cet appui de la Banque mondiale est destiné notamment à la modernisation des outils de production et au financement du Programme de productivité agricole en Afrique de l’ouest (Ppaao/Waapp).
Sur ce montant, la Banque mondiale endosse la majeure partie tandis que le reste est décaissé par l’Espagne. « Ces accords de don ont été possibles grâce au Japon, à l’Espagne et à nous-mêmes », a fait remarquer le directeur des opérations de la Banque mondiale en Côte d’Ivoire, Madani Tall.
Quant au ministre ivoirien de l’Agriculture, Mamadou Sangafowa Coulibaly, il a noté que le fonds va aider au financement de la sécurité alimentaire, surtout concernant la banane plantain, le maïs, le manioc, l’igname, le porc, la volaille traditionnelle et le riz. Quelques 300 000 producteurs et autres acteurs des filières de production alimentaire, dont au moins 40% de femmes sont visés par le financement.
Pour sa part, le ministre de l’Economie et des Finances, Charles Diby Koffi a souligné que ces initiatives s’inscrivent dans un vaste chantier de développement de l’agriculture vivrière ivoirienne, en parfaite cohérence avec les initiatives régionales.
« Nous suivrons avec attention et rigueur le comité national de pilotage fonctionnel et opérationnel mis en place ainsi que les comités de suivi du portefeuille des projets de la Banque mondiale », a assuré l’argentier ivoirien. Il a annoncé 80% de taux d'absorption de l'ensemble des projets d'ici la fin de l'année.
(AIP)
Cet appui de la Banque mondiale est destiné notamment à la modernisation des outils de production et au financement du Programme de productivité agricole en Afrique de l’ouest (Ppaao/Waapp).
Sur ce montant, la Banque mondiale endosse la majeure partie tandis que le reste est décaissé par l’Espagne. « Ces accords de don ont été possibles grâce au Japon, à l’Espagne et à nous-mêmes », a fait remarquer le directeur des opérations de la Banque mondiale en Côte d’Ivoire, Madani Tall.
Quant au ministre ivoirien de l’Agriculture, Mamadou Sangafowa Coulibaly, il a noté que le fonds va aider au financement de la sécurité alimentaire, surtout concernant la banane plantain, le maïs, le manioc, l’igname, le porc, la volaille traditionnelle et le riz. Quelques 300 000 producteurs et autres acteurs des filières de production alimentaire, dont au moins 40% de femmes sont visés par le financement.
Pour sa part, le ministre de l’Economie et des Finances, Charles Diby Koffi a souligné que ces initiatives s’inscrivent dans un vaste chantier de développement de l’agriculture vivrière ivoirienne, en parfaite cohérence avec les initiatives régionales.
« Nous suivrons avec attention et rigueur le comité national de pilotage fonctionnel et opérationnel mis en place ainsi que les comités de suivi du portefeuille des projets de la Banque mondiale », a assuré l’argentier ivoirien. Il a annoncé 80% de taux d'absorption de l'ensemble des projets d'ici la fin de l'année.
(AIP)
