Au terme de la cérémonie d’ouverture de l’atelier de réflexion sur l’avenir de la nouvelle armée ivoirienne, des participants ont bien voulu nous faire partager leurs espoirs.
N’Gouan Patrick (Csci) : «Nous voulons une armée professionnelle »
« Nous voulons une armée de professionnels dont le recrutement se fait sur des bases objectives, non pas sur des bases de complaisance et de cooptation. Que la formation et la promotion des hommes en armes se fassent de façon rigoureuse. Si ces deux conditions sont remplies au niveau du recrutement et de la formation, j’estime que nous pourrons avoir une armée qui a d’abord à l’esprit, la nation. Ce ne sera pas une armée prétorienne, une armée impériale mais une armée républicaine, une armée nationale. Si les gens ont cela à l’esprit, ce sera dans l’intérêt de tous ».
Cdt Issiaka Ouattara (groupement tactique 5) : « Il faut une armée à la
disposition du peuple »
« Le séminaire vient à point nommé au moment où la Côte d’Ivoire sort d’une crise née des élections de 2010. Il faut que nous réfléchissions à la nouvelle armée pour la sécurité des Ivoiriens. Il s’agit de créer une armée républicaine qui sera à la disposition du peuple. Une armée qui va renouer les amitiés avec le peuple parce que cette amitié a disparu. Il faut pouvoir remettre cette population en confiance ».
Gal Soumaïla Bakayoko : «L’armée doit participer à la reconstruction du pays»
« Le défi à relever, c’est que notre armée doit participer à la reconstruction de notre pays.
Et également l’un des volets importants de la politique du président de la République, Alassane Ouattara, c’est la réconciliation des Ivoiriens. Et notre armée ne doit pas rester en marge de cela. Comprenez alors qu’il y a beaucoup de défis à relever. Mais je sais qu’on peut compter sur notre armée pour les relever».
Koffi Koffi Paul (ministre-délégué à la Défense) : «Nous voulons construire
l’armée sur une base solide»
« Notre mission sera de recréer et de raffermir la cohésion interne. Nous ferons également l’état des lieux aux plans financier, matériel, humain et logistique afin de construire notre armée sur une base solide ».
Gal Gueu Michel : «L’armée doit être au service des institutions»
« La Côte d’Ivoire est en train de tourner une page de son histoire après les violences post-électorales. Il faut refonder l’armée pour bâtir une Côte d’Ivoire nouvelle et prospère. Cette nouvelle mission ne peut se faire sans l’armée. C’est pourquoi, il faut que les militaires soient républicains c'est-à-dire qu’ils soient au service de l’Etat, de la nation ivoirienne. Parce qu’une armée n’est pas au service d’un individu mais des institutions. J’attends des futurs militaires qu’ils soient aujourd’hui au service de la Côte d’Ivoire ».
Gal Philippe Mangou : «Nous avons besoin de moyens»
« Nous avons longtemps travaillé sur la réunification de la nouvelle armée dans le cadre du Centre de commandement intégré à Yamoussoukro avec nos frères des Forces nouvelles.
Et aujourd’hui, nous pensons que c’est l’aboutissement de tout ce que nous avons fait. Nous allons donc avoir une armée réunifiée et pour ce faire, nous attendons beaucoup des séminaristes. En terme de plaies de l’armée ivoirienne, je parlerai des moyens qui font cruellement défaut.
N’Gouan Patrick (Csci) : «Nous voulons une armée professionnelle »
« Nous voulons une armée de professionnels dont le recrutement se fait sur des bases objectives, non pas sur des bases de complaisance et de cooptation. Que la formation et la promotion des hommes en armes se fassent de façon rigoureuse. Si ces deux conditions sont remplies au niveau du recrutement et de la formation, j’estime que nous pourrons avoir une armée qui a d’abord à l’esprit, la nation. Ce ne sera pas une armée prétorienne, une armée impériale mais une armée républicaine, une armée nationale. Si les gens ont cela à l’esprit, ce sera dans l’intérêt de tous ».
Cdt Issiaka Ouattara (groupement tactique 5) : « Il faut une armée à la
disposition du peuple »
« Le séminaire vient à point nommé au moment où la Côte d’Ivoire sort d’une crise née des élections de 2010. Il faut que nous réfléchissions à la nouvelle armée pour la sécurité des Ivoiriens. Il s’agit de créer une armée républicaine qui sera à la disposition du peuple. Une armée qui va renouer les amitiés avec le peuple parce que cette amitié a disparu. Il faut pouvoir remettre cette population en confiance ».
Gal Soumaïla Bakayoko : «L’armée doit participer à la reconstruction du pays»
« Le défi à relever, c’est que notre armée doit participer à la reconstruction de notre pays.
Et également l’un des volets importants de la politique du président de la République, Alassane Ouattara, c’est la réconciliation des Ivoiriens. Et notre armée ne doit pas rester en marge de cela. Comprenez alors qu’il y a beaucoup de défis à relever. Mais je sais qu’on peut compter sur notre armée pour les relever».
Koffi Koffi Paul (ministre-délégué à la Défense) : «Nous voulons construire
l’armée sur une base solide»
« Notre mission sera de recréer et de raffermir la cohésion interne. Nous ferons également l’état des lieux aux plans financier, matériel, humain et logistique afin de construire notre armée sur une base solide ».
Gal Gueu Michel : «L’armée doit être au service des institutions»
« La Côte d’Ivoire est en train de tourner une page de son histoire après les violences post-électorales. Il faut refonder l’armée pour bâtir une Côte d’Ivoire nouvelle et prospère. Cette nouvelle mission ne peut se faire sans l’armée. C’est pourquoi, il faut que les militaires soient républicains c'est-à-dire qu’ils soient au service de l’Etat, de la nation ivoirienne. Parce qu’une armée n’est pas au service d’un individu mais des institutions. J’attends des futurs militaires qu’ils soient aujourd’hui au service de la Côte d’Ivoire ».
Gal Philippe Mangou : «Nous avons besoin de moyens»
« Nous avons longtemps travaillé sur la réunification de la nouvelle armée dans le cadre du Centre de commandement intégré à Yamoussoukro avec nos frères des Forces nouvelles.
Et aujourd’hui, nous pensons que c’est l’aboutissement de tout ce que nous avons fait. Nous allons donc avoir une armée réunifiée et pour ce faire, nous attendons beaucoup des séminaristes. En terme de plaies de l’armée ivoirienne, je parlerai des moyens qui font cruellement défaut.
