Amnesty International a dénoncé, hier, la détention sans aucune charge de dizaines de partisans de l’ex-président ivoirien, Laurent Gbagbo, dont certains ont été "battus" par les forces d’Alassane Ouattara dans un hôtel devant lequel sont postés des Casques bleus. « La présence de soldats de l’ONU devant l’hôtel où des partisans supposés de Laurent Gbagbo sont détenus arbitrairement soulève de troublantes questions », a déclaré Véronique Aubert, directrice adjointe d’Amnesty pour l’Afrique, citée dans un communiqué de l’ONG.
Politique Publié le jeudi 23 juin 2011 | Nord-Sud