Ils étaient interdits du quartier des affaires d’Abidjan. Mais depuis la fin de la crise postélectorale, profitant du désordre ambiant, les minicars ont bravé l’interdiction, pour s’inviter dans la circulation au Plateau. Avec la normalité qui est de retour, va-t-on laisser ces encombrants engins prospérer ?
Société Publié le vendredi 24 juin 2011 | L’intelligent d’Abidjan