Invité à la conférence publique du Mouvement ivoirien pour la stabilité politique (Mispo) au Ran-hôtel de Bouaké, samedi dernier, Paulin Alomo Kouassi a salué la bravoure du Premier ministre qui a, selon lui, permis de sauvegarder la démocratie en Côte d’Ivoire.
«La marche de la Côte d’Ivoire vers la démocratie, le rôle du Premier ministre Soro Guillaume », tel était le thème de la conférence organisée, samedi dernier, au Ran-hôtel de Bouaké, par le Mouvement ivoirien pour la stabilité politique (Mispo). Le conférencier, Paulin Alomo, ne s’embarrassant pas de fioritures, a mis en exergue le rôle prépondérant joué par Guillaume Soro dans la consolidation de la démocratie en Côte d’Ivoire, ces dernières années. « Si on parle encore de démocratie dans notre pays, c’est parce que le Premier ministre Guillaume Soro l’a voulu. Que serions-nous devenus si le Premier ministre et les Forces Nouvelles n’avaient pas existé ? », a-t-il interrogé avant de résumer en huit points, les actions posées par le chef du gouvernement et qui ont permis de sauver la jeune démocratie ivoirienne du péril qui le guettait. « En tirant les leçons de la défaite du régime de Laurent Gbagbo, tous les Ivoiriens comprennent que les Forces nouvelles ont été les sauveurs de la Côte d’Ivoire de la dictature de Laurent Gbagbo et de son Fpi (Front populaire ivoirien, Ndlr). C’est le lieu de souligner cette haute intelligence politique qui leur a permis de cohabiter avec le régime sanguinaire et dictatorial (de Gbagbo) sans heurt tout en gardant le cap sur la démocratisation et la libération de la Côte d’Ivoire qui a été très tôt l’objectif de leur existence. Surtout quand on sait que la corruption a été utilisée maintes fois pour les en dissuader. Elles ont participé à la sécurisation des élections présidentielles, leur présence a évité le bourrage des urnes et toutes les tentatives de fraudes organisées pour réussir le passage en force de Laurent Gbagbo. Tout ceci, sous l’œil vigilant et le haut commandement de Guillaume Soro. Et quand les forces de défense et de sécurité ont violé à l’Ouest le cessez-le-feu, c’est lui, en sa qualité de Secrétaire général des FN qui a décidé et dirigé le combat qui a abouti à la libération totale du pays le 11 avril 2011 », a, en outre, relevé l’ancien député de Baouflé, Paulin Alomo. « On ne saurait jamais assez remercier Guillaume Soro. Lui et ses hommes ont mis en jeu leur vie pour faire appliquer la démocratie en Côte d’Ivoire par tous les moyens », a ajouté le conférencier. Pour sa part, Diby Théophile a explique que le Mispo n’est pas un fan-club mais plutôt une association de jeunes ivoiriens qui ont décidé de poser des actions pour la sauvegarde de la démocratie en Côte d’Ivoire. « Seul le respect de la démocratie nous permettra d’atteindre le développement », a-t-il soutenu.
Marc Dossa
Poursuite judiciaire
«La marche de la Côte d’Ivoire vers la démocratie, le rôle du Premier ministre Soro Guillaume », tel était le thème de la conférence organisée, samedi dernier, au Ran-hôtel de Bouaké, par le Mouvement ivoirien pour la stabilité politique (Mispo). Le conférencier, Paulin Alomo, ne s’embarrassant pas de fioritures, a mis en exergue le rôle prépondérant joué par Guillaume Soro dans la consolidation de la démocratie en Côte d’Ivoire, ces dernières années. « Si on parle encore de démocratie dans notre pays, c’est parce que le Premier ministre Guillaume Soro l’a voulu. Que serions-nous devenus si le Premier ministre et les Forces Nouvelles n’avaient pas existé ? », a-t-il interrogé avant de résumer en huit points, les actions posées par le chef du gouvernement et qui ont permis de sauver la jeune démocratie ivoirienne du péril qui le guettait. « En tirant les leçons de la défaite du régime de Laurent Gbagbo, tous les Ivoiriens comprennent que les Forces nouvelles ont été les sauveurs de la Côte d’Ivoire de la dictature de Laurent Gbagbo et de son Fpi (Front populaire ivoirien, Ndlr). C’est le lieu de souligner cette haute intelligence politique qui leur a permis de cohabiter avec le régime sanguinaire et dictatorial (de Gbagbo) sans heurt tout en gardant le cap sur la démocratisation et la libération de la Côte d’Ivoire qui a été très tôt l’objectif de leur existence. Surtout quand on sait que la corruption a été utilisée maintes fois pour les en dissuader. Elles ont participé à la sécurisation des élections présidentielles, leur présence a évité le bourrage des urnes et toutes les tentatives de fraudes organisées pour réussir le passage en force de Laurent Gbagbo. Tout ceci, sous l’œil vigilant et le haut commandement de Guillaume Soro. Et quand les forces de défense et de sécurité ont violé à l’Ouest le cessez-le-feu, c’est lui, en sa qualité de Secrétaire général des FN qui a décidé et dirigé le combat qui a abouti à la libération totale du pays le 11 avril 2011 », a, en outre, relevé l’ancien député de Baouflé, Paulin Alomo. « On ne saurait jamais assez remercier Guillaume Soro. Lui et ses hommes ont mis en jeu leur vie pour faire appliquer la démocratie en Côte d’Ivoire par tous les moyens », a ajouté le conférencier. Pour sa part, Diby Théophile a explique que le Mispo n’est pas un fan-club mais plutôt une association de jeunes ivoiriens qui ont décidé de poser des actions pour la sauvegarde de la démocratie en Côte d’Ivoire. « Seul le respect de la démocratie nous permettra d’atteindre le développement », a-t-il soutenu.
Marc Dossa
Poursuite judiciaire